abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
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| موضوع: LA COMMUNICATION السبت 24 مارس 2012, 21:33 | |
| 1. DéfinitionLa communication est l'acte d'établir des relations avec quelqu'un. Une bonne communication apporte le succès à une rencontre. Rencontrer l'autre, c'est lui parler, mais c'est aussi l'écouter. Pour communiquer, il est indispensable qu'il y ait un émetteur (ou destinateur) et un récepteur (ou destinataire), et qu'un message visuel ou sonore soit délivré du premier vers le second. Pour établir une communication, le message doit être compréhensible pour le récepteur. Le message (ou signe) comporte toujours un signifiant et un signifié. Le signifiant est la forme utilisée pour transmettre le message : un dessin, un mot, un geste..., qu'entend ou que voit le récepteur du message. Le signifié est ce que représente le message transmis, ce qu'il veut dire. Pour qu'une communication soit réellement établie, il est donc impératif que le signifié soit compris par le récepteur. Parmi la multitude de signes, certains signes sont utilisés par tous selon des conventions internationales (ex : mesures). Ils ont une signification fixe. Les autres sont placés dans un contexte précis pour que leur signification se précise (par exemple, une citation). Ils ont alors une signification ouverte. Un même signifiant pourra donc revêtir plusieurs signifiés selon les contextes (par exemple le mot "argent") ; on peut, par ailleurs, jouer sur les signes utilisés pour exprimer un même signifié (par exemple, les jeux de mots ou l'inversion des codes gestuels à des fins comiques).
2. La communication par l'image
L'image est non seulement un moyen d'expression artistique, mais un outil réel de communication bien antérieur à l'écriture. Il existe des images fixes (dessins, peintures, gravures...) et des images animées (cinéma, image vidéo...). 1. Réalité matérielle Une image est un assemblage de points, de lignes, de surfaces, de couleurs, dont la disposition donne parfois l'illusion du volume, de la lumière, du mouvement, de la vie. La perspective géométrique est l'organisation des objets sur la surface, de telle sorte que leur représentation corresponde à la perception visuelle qu'on peut en avoir. Par exemple, une table dessinée de manière qu'on pense la voir en trois dimensions. Parmi les couleurs, on distingue les couleurs froides (celles qui se rapprochent du bleu) des couleurs chaudes (jaune, orangé, rouge) ; les couleurs primaires (jaune, rouge et bleu) des couleurs complémentaires (par exemple, le vert est complémentaire du rouge). 2. Le point de vue Toute image suppose un point de vue : ce qui est montré par l'image est en fait ce qui est vu par l'œil du peintre. Au cinéma, l'image peut montrer ce que voit le cinéaste (point de vue objectif) ou ce que voit l'un des personnages du film (point de vue subjectif). Le cadrage détermine la portion d'espace représentée : par exemple, un plan d'ensemble ou un gros plan, ou encore un travelling. Le montage des images ou des films permet d'introduire la notion de temps, en ralentissant ou en accélérant son déroulement. 3. Le sens de l'image Ce que l'image montre constitue sa dénotation. Ce que l'image suggère constitue ses connotations. L'image peut ainsi revêtir plusieurs fonctions : - référentielle : elle peut être descriptive ou narrative, comme dans les fresques historiques ou les BD ; elle peut aussi être informative ou explicative, comme dans les documentaires, les schémas... - poétique ; elle peut être expressive (en suscitant des sentiments, comme le voulait la peinture impressionniste de la fin du XIXème siècle) ou symbolique (comme dans la peinture surréaliste qui ne représente jamais la réalité telle que nous la connaissons). - injonctive et argumentative : la caricature, la publicité, le dessin humoristique veulent nous convaincre ou nous faire réfléchir. Enfin, l'image peut se charger d'un sens individuel ou collectif (religieux, social, politique), selon les périodes et les créateurs. Comme pour un texte, il est donc important de situer historiquement une image (tableau, publicité, film...) lorsqu'on désire l'analyser.
3. La communication par les mots
La communication à l'aide de mots est la communication verbale. Elle peut être orale ou écrite. Dans les deux cas, l'outil utilisé est le même : c'est le mot, combinaison d'un signifiant (sa forme) et d'un signifié (son sens). Qu'il soit oral ou écrit, le message s'appelle énoncé. Le code utilisé est le système linguistique produit par un énonciateur (ou locuteur) vers un énonciataire (ou interlocuteur, destinataire). 1. La communication orale Dans la communication orale, l'émetteur (ou locuteur) et le récepteur (ou interlocuteur) sont en principe en présence l'un de l'autre. D'autres éléments sont ainsi importants : l'expression du visage, les gestes, les intonations de la voix... La grammaire est souvent peu élaborée. On utilise souvent des phrases juxtaposées, voire disloquées ou inachevées. Le vocabulaire est souvent familier. Ce qui marque avant tout la communication orale est sa spontanéité : la parole est vivante, inscrite dans le temps, sans modification possible au moment où on l'émet. 2. La communication écrite Dans la communication écrite, le destinataire est éloigné. Le message doit donc être complet, achevé, lisible. La grammaire doit donc correspondre à l'usage correct, ainsi que la ponctuation et l'orthographe. Le vocabulaire est en général plus élaboré qu'à l'oral. Ce qui marque avant tout la communication écrite est le souci d'être compris du destinataire, à qui on ne pourra pas toujours expliquer une deuxième fois le message qu'on veut lui transmettre. 3. La "communication" littéraire Parmi les textes écrits, certains présentent des qualités littéraires qui les distinguent des autres productions écrites. Le texte littéraire n'a pas pour fonction essentielle d'être utile, comme le sont un manuel de classe ou un mode d'emploi. Sa finalité pratique n'est donc pas primordiale. Le texte littéraire est avant tout apprécié pour la qualité de son écriture. C'est la forme qui marque donc la différence. Sa fonction expressive (expression des sentiments, des émotions) et sa fonction poétique (esthétique du langage) sont indissociables de sa fonction narrative (lorsqu'il nous raconte une histoire) ou argumentative (lorsqu'il cherche à nous convaincre).
4. Les fonctions du langage
L'étymologie latine du verbe lire nous le confirme : lire (legere), c'est choisir. Choisir d'abord, dans la multiplicité des textes offerts à nos regards, les clefs qui permettent d'y entrer. Pour cela, la notion de type de texte est certes commode en subordonnant le classement à l'intention de communication. Pourtant, la diversité des messages risque parfois de ne pas se retrouver dans une typologie forcément sommaire et simplificatrice. Il faut souvent regarder d'un peu plus près les éléments constitutifs d'une situation de communication. Représentée ainsi, selon le modèle proposé par le linguiste Roman Jakobson,
Référent Émetteur---------->Message---------->Récepteur Code Contact | la situation de communication choisit toujours les accents que le message mettra particulièrement en valeur : ainsi l'émetteur peut valoriser sa présence ou privilégier le référent (ce dont on parle), le code message lui-même (par exemple sa plastique). Il peut choisir de mobiliser le récepteur ou rester toujours soucieux de maintenir le contact. Selon la place qu'occupe tel élément dans le message, on est convenu de déterminer telle fonction du langage, que le tableau ci-dessous vous rappelle rapidement : même (la langue) qu'il emploie, voire le
Lorsque le message met en valeur... (mot en rouge) | | Référent Émetteur------>Message------>Récepteur Code Contact | expressive : vocabulaire du jugement et du sentiment, pronoms de la première personne | Référent Émetteur------>Message------>Récepteur Code Contact | impressive : injonctions, pronoms de la deuxième personne | Référent Émetteur------->Message------>Récepteur Code Contact | référentielle : données objectives (chiffres et dates), absence d'indices de jugement | Référent Émetteur------>Message------>Récepteur Code Contact | poétique : jeux de mots, jeux sur les sonorités, jeux sur le graphisme du message | Référent Émetteur------>Message------>Récepteur Code Contact | métalinguistique : le texte éclaircit le fonctionnement de la langue (définitions...) | Référent Émetteur------>Message------>Récepteur Code Contact | phatique : outils propres à maintenir le contact (interjections, gallicismes...) | 4. Conclusions
Toute communication requiert l'emploi d'un code commun à l'émetteur et au récepteur du message délivré. Le signifié doit être employé sans ambiguïté pour que le message soit clair. Dans la communication par l'image, on s'intéresse à la composition de l'image, à ce qu'elle dénote mais aussi à sa valeur symbolique mise en valeur par toutes les connotations qui s'y rattachent. Dans la communication verbale, on distingue souvent la communication orale de la communication écrite. Certains textes, enfin, revêtent une valeur littéraire et traduisent la vision du monde de leur auteur et sa sensibilité bien plus qu'ils n'ont une fonction utilitaire Importance de la communication verbale. La parole est peut-être l'instrument le plus important que nous ayons à notre disposition pour rendre notre vie intéressante. Sans la parole nous aurions beaucoup moins de possibilités de monter aux autres ce que nous sommes, ce que nous pensons, ce que nous ressentons. Nous saurions aussi moins rapidement ce que les autres pensent, ce qu'ils ressentent vis-à-vis de nous et vis-à-vis des autres réalités, ce qu'ils désirent, ce qu'ils attendent de nous et de la vie en général. Nous développerions nos connaissances beaucoup plus lentement. Aussi, nos sentiments évolueraient plus lentement à cause du manque d'échanges avec les autres.
De plus le langage structure la pensée, comme la pensée structure le langage.
Le langage nous permet de créer pour les autres, du bonheur, mais aussi de la tristesse et de la colère. Autrement dit, la communication verbale est une source importante d'émotions agréables et désagréables.L'expression directe des sentiments.
La réaction des gens face à ce que vous exprimez verbalement dépend de votre façon de dire les choses.
En général, les phrases qui expriment le plus directement les sentiments sont celles qui commencent par 'je' ou par 'ça me', au lieu de commencer par 'tu'.
Nous les employons souvent sous forme accusatrice; cela nous permet de les présenter comme des vérités absolues ou comme des points de
vue universels, nous avons l'impression que nos sentiments sont plus raisonnables et plus acceptables. Malheureusement, c'est souvent l'inverse qui se produit L'expression indirecte et accusatrice empêche l'autre d'accepter nos sentiments négatifs et l'amène à répondre de manière défensive et bien souvent agressive.
La formulation constructive et directe est :
"Quand tu fais telle action précise, dans telle situation précise, je ressens tel sentiment." Écouter l'autre.
Un des principaux problèmes dans les relations interpersonnelles consiste en ce fait que nous ne prenons pas le temps d'écouter l'autre. Nous avons l'habitude de juger l'autre, de l'approuver ou de le désapprouver rapidement, surtout quand nous nous sentons très impliqué nous même, quand nous avons un intérêt évident ou caché, à ce que l'autre ait raison ou tort. Nous pouvons alors facilement oublier le contenu du message de l'autre, ce qui crée incompréhensions et querelles inutiles
Être un bon récepteur, savoir se taire pour écouter, est important dans la communication. Il y a deux façons d'écouter: l'écoute passive et l'écoute active.
L'écoute passive.
Souvent, la meilleure façon d'être un bon récepteur consiste tout simplement là montrer là l'autre que l'on s'intéresse à ce qu'il dit et à l'encourager ainsi à continuer à parler. Pour cela, il faut être attentif à l'autre, le regarder et éviter les distractions. Nous pouvons aussi ajouter des signes de tête ou des phrases brèves qui montrent notre intérêt; par ex.: dire 'oui', 'hum, hum', 'd'accord', "c'est intéressant", 'je comprends', etc. ...
Il faut bien entendu les faire à des moments appropriés.
Aron W.Siegman a découvert que. le fait de dire "hum, hum' au hasard, c'est à dire sans tenir compte de ce que dit l'autre, n'amène pas l'autre à parler davantage, bien que cela crée une atmosphère chaleureuse et amicale. Faire de l'écoute passive à tout moment dans une conversation peut donner l'impression à l'autre que nous voulons bien l'écouter, mais que nous ne sommes pas intéressé par ce qu'il dit en particulier. Il y a donc lieu, à certains moments, d'indiquer clairement ce qui précisément nous intéresse dans ce qu'il dit. C'est l'écoute active.
La PNL La programmation neurolinguistique, plus connue sous le nom de PNL, a été développée par deux Californiens dans les années 1970 : le linguiste John GRINER et le mathématicien Richard BANDLER. Résumé du concept : « Programmation » : tels des ordinateurs, nous sommes programmés avec des séquences qui se reproduisent et qui régissent nos modes de fonctionnement. La PNL a pour objectif de diversifier et de rendre plus efficace nos programmes. « Neuro » correspond à nos modes de perception sensorielle et classifie nos émissions et réceptions via nos cinq sens : la vue, l’ouïe, le toucher, l’odorat et le goût. « Linguistique » correspond à la manière d’utiliser nos sens dans le langage. Ex : « J’entends ce que tu dis. », « Je vois une solution possible. », « Nous touchons au but. »… Les outils de la PNL permettent d’établir une meilleure communication en comprenant notre propre mode de fonctionnement et celui de notre interlocuteur. Outil(s) de la méthode : Le repérage : il permet de déterminer quel est le canal sensoriel dominant chez l’interlocuteur. La synchronisation : elle permet d’opter pour le même canal sensoriel que l’interlocuteur et de s’adapter également à son expression non-verbale. L’ancrage : nous avons tous des (cadres de ?) références et nos évènements positifs ou négatifs sont « ancrés » en nous par des mots, des images, des gestes. Ce sont les « ancres » qui facilitent une « re-programmation ». Cette page sera développée prochainement.
La respiration |
Elle détermine la bonne émission de la voix. Elle permet la détente musculaire et nerveuse. Elle est nécessaire pour vivre… Et faire vivre son discours !
Il y a trois grands types de respirations :
1/ Claviculaire :
Gonflement de la cage thoracique et élévation des épaules. C'est la respiration dite "haute", celle que nous utilisons quand on nous dit de respirer « à fond » chez le médecin. Elle peut bloquer la voix et générer du stress.
2/ Thoracique :
Ouverture de la cage thoracique par l’élargissement des côtes et le gonflement de la poitrine.
C'est la respiration la plus connue, utilisée par la plupart des sportifs amateurs.
3/ Abdominale :
Entraînez-vous, c 'est la bonne ! Abaisser le diaphragme et détendre les muscles abdominaux. Cette respiration se découvre facilement si l'on s’allonge sur le dos en plaçant une main sur le ventre. Lors de l’inspiration : la main est soulevée, le ventre se gonfle, puis se creuse à l’expiration. C'est la respiration idéale pour la voix chantée et parlée. Elle permet en plus de gérer le stress.
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