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  La relation entre frère(s) et sœur(s)

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abdelhalim berri
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abdelhalim berri


الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI
البلد : Royaume du Maroc

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الجنس : ذكر

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مُساهمةموضوع: La relation entre frère(s) et sœur(s)     La relation entre frère(s) et sœur(s)  I_icon_minitimeالخميس 08 مارس 2012, 21:50


 La relation entre frère(s) et sœur(s)  Dd8d6184

La relation entre frère(s) et sœur(s) n'est pas la même selon les âges
de chacun et de chacune. Elle évolue, parfois assez distante... d'autres
fois très proche. Dès la naissance, dès l'arrivée d'un nouvel enfant,
le grand frère ou la grande sœur peut déjà réagir à sa façon.
La régression

La
régression qui peut survenir pendant la grossesse ou après la naissance
d'un frère ou d'une soeur, est une réaction tout à fait naturelle chez
l’enfant.
Occupée par le nouveau-né, la maman a moins de temps pour
s’occuper de l'aîné. Pour attirer son attention, celui-ci va tenter de
redevenir le « petit », en redemandant le biberon, en se remettant à
faire pipi au lit, en refusant d’aller à l'école...

Bien que
naturelle, la régression doit cependant rester passagère ; si elle
s’éternise, il est préférable de consulter un pédopsychiatre.

Lors
de l’arrivée d’un nouveau-né, la jalousie de l’aîné est elle aussi
normale : désormais il devra partager l’affection de ses parents. Selon
l’âge, cette jalousie se traduira différemment.

Les petits
réagiront le plus souvent par une agressivité physique envers le bébé,
alors que les plus grands l’exprimeront verbalement. Quand la différence
d'âge est importante, il arrive que l'aîné refoule sa jalousie et se
replie sur lui-même, se mette à bégayer, à souffrir de constipation. Il
peut devenir agressif avec ses parents, faire des bêtises exprès pour
attirer l’attention.

Laissez votre enfant exprimer ses
sentiments, dans la mesure, bien sûr, où cela ne porte pas atteinte à la
santé du bébé ou à l'enfant lui-même. L'aîné ne doit surtout pas se
sentir rejeté parce qu'il est jaloux ; c’est une réaction naturelle pour
son âge. Consacrez-lui des moments privilégiés en tête-à-tête, pensez à
lui offrir un petit cadeau lors de la naissance du petit frère ;
valorisez son rôle d'aîné, sans toutefois lui faire porter trop de
responsabilités.

Dans tous les cas, sachez qu’avant 7 ans,
l’enfant est centré sur lui-même et ne partage pas facilement. Entre 7
et 10 ans, il fonctionnera surtout sur le mode du chantage. Entre 10 et
14 ans, il pourra passer de l’amour à la haine en quelques minutes.


 La relation entre frère(s) et sœur(s)  N_3379_D

Entre frères et sœurs
Dans un couple, le projet d'enfant est au point
de rencontre du biologique et de l'imaginaire. En effet, tout couple
ayant un projet de parentalité construit dans son imaginaire
un enfant idéal. Mais dès sa naissance, l'enfant
réel, par ses pleurs, ses turbulences, ses fragilités,
oblige les parents à réajuster peu à peu l'image
de cet enfant fantasmé.



Le projet de concevoir d'autres enfants et de
donner la vie à une fratrie obéit à la
même logique. Il y a dans la tête de tout parent qui
souhaite mettre au monde un deuxième enfant puis
éventuellement, par la suite, d'autres enfants, une vision
idéalisée de la fratrie.



Ne dit-on pas s'aimer comme frère et
soeur dans le langage courant ?



Mais comme toujours dans le domaine du
fonctionnement de l'être humain, il y a loin entre le
rêve et la réalité.



Si la fratrie peut-être le lieu de
l'amour, elle peut être aussi le lieu de la haine. En tout
état de causes, elle est bien souvent tour à tour, pour
une même famille, le lieu de l'un et de l'autre.




Pourtant, les parents souhaiteraient, en
réalisant leur projet de famille plus ou moins nombreuse, que
tous leurs enfants s'entendent bien, s'aiment et s'entraident. C'est
dire si les querelles, les chamailleries voire les bagarres qui
éclatent entre leurs enfants leur sont insupportables. Car il
y a loin entre les faits et les discours convenus qui obligent chacun
à rester dans un rôle bien défini :




"Il adore son petit frère ou sa petite
soeur, d'ailleurs il attendait avec tellement d'impatience sa
naissance !" Mais commet extérioriser sa jalousie devant un
nouveau-né quand l'ambiance générale est
à la joie ?



Pire encore, quelquefois, les parents mal
avisés n'hésitent pas à demander en toute
innocence : "Est-ce que tu veux un petit frère ou une petite
soeur. ?" On ne saurait trop recommander de ne pas mettre l'enfant
dans cette situation impossible : la décision de concevoir un
nouvel enfant n'appartient qu'au couple et non à l'enfant. Il
y gagnerait l'illusion d'être tout puissant mais y perdrait sa
place d'enfant.



Cette page a pour but de vous aider à
éviter les écueils les plus fréquents et a
l'ambition de vous fournir quelques pistes de compréhension
dans les sentiments ambigus qui assaillent toute fratrie.




L'Oedipe


Tout enfant a le désir de se faire aimer
par le parent du sexe opposé et se trouve en rivalité
avec le parent du même sexe que le sien. C'est ce que les
psychologues désignent sous le nom de problématique
oedipienne.
La présence de
frères ou de soeurs ne fait que rendre ce conflit psychique
plus aigu. La rivalité entre frère et soeur
réactualise ce conflit fondateur du psychisme humain. Mais,
avec les parents, la relation triangulaire s'instaure sur la base de
la différence générationnelle, ce qui aide
l'enfant à dépasser ce cap plus facilement tandis
qu'avec les frères et soeurs, surtout s'ils ont peu de
différence d'âge, la compétition s'avère
plus difficile à vivre.



Ainsi donc, au sein de la fratrie, la
problématique oedipienne se joue et se rejoue sans cesse. La
grande soeur étant le substitut de la mère, le grand
frère, celui du père, le petit frère ou la
petite soeur, l'enfant qu'on aurait aimé avoir avec le parent
du sexe opposé.



Donc, les parents se doivent d'être
attentifs et de ne pas accentuer les attitudes qui tendent à
parentaliser ou à infantiliser les uns ou les
autres.



Non, les grands frères ou les grandes
soeurs n'ont pas de mission particulière à veiller sur
leurs jeunes frères ou soeurs. Inversement, les petits n'ont
pas vocation à obéir à leur aînés.
Les enfants doivent rester à leur place d'enfant, ce qui
n'exclut pas à l'occasion qu'un aîné puisse aider
aux soins d'un plus petit ou qu'un cadet soit placé
momentanément sous la responsabilité du plus grand.
Mais cette attitude doit rester exceptionnelle. Toute
systématisation entraînerait, de moins point de vue, des
dérives perturbant les relations des uns et des
autres.



Les aînés ont bien assez à
faire avec leurs projets personnels sans avoir en charge la
surveillance des plus jeunes. Quant aux cadets, ils doivent apprendre
à devenir autonomes et les mettre trop souvent sous la
protection des plus grands ne peut que contribuer à les
empêcher de grandir.



Quant aux querelles trop violentes entre
frères et soeurs, elles renvoient directement à
l'ambiance familiale et en tout premier lieu aux relations dans le
couple dont elles sont souvent la copie fidèle, les enfants
s'identifiant inconsciemment à leurs parents.



Quoi qu'il en soit, c'est du devoir et de la
responsabilité de tout parent de veiller à ce que les
relations entre frères et soeurs respectent les valeurs
fondamentales de notre société : le respect de l'autre,
l'altruisme, la générosité sans oublier, bien
entendu, le tabou de l'inceste.






Fusion ou différenciation ?



Un des rêves des parents, c'est bien
souvent, d'avoir des frères et soeurs qui se ressemblent,
comme si les liens d'amour étaient ainsi plus solides.
L'illustration la plus parlante de ce fantasme était
l'habitude qui avait cours, il n'y a pas si longtemps, d'habiller les
frères et les soeurs de la même manière.
L'uniforme familial symbolisant l'unité du clan.




S'il est bon pour les enfants d'affirmer leur
appartenance à un même clan, à une même
lignée, de partager de souvenirs communs et, au-delà,
des valeurs communes, pour autant, il n'est pas recommandé de
cultiver l'uniformité.






Chacun dans la fratrie a une place
différente par son rang de naissance et par son sexe.
D'où la difficulté à chaque nouvelle naissance
de retrouver une place puisqu'il y a eu remaniement dans
l'ordonnancement de la fratrie.



Chercher à cultiver les ressemblances
n'est pas un facteur favorable pour la construction identitaire. Mais
à l'inverse, mettre en exergue les différences peut
cristalliser la compétition entre les uns et les autres. La
problématique oedipienne est bien assez complexe sans que les
parents n'aillent en rajouter.



La sagesse se situant dans un juste milieu
entre le semblable et le différent.



Donc, on ne saurait trop recommander de bannir
des phrases qui peuvent entraîner des désastres du type
:



"Mathieu, c'est le fort en math de la famille",
avec comme corollaire sous-entendu : "les autres sont
complètement nuls".



Ou encore : "Nathalie, c'est la timide de la
famille." Avec des jugements aussi catégoriques et
définitifs, Nathalie aura sans doute bien du mal à
vaincre sa timidité.



Ne vous étonnez pas non plus de ne rien
obtenir de celui qui "n'écoute rien". Il aurait trop peur de
perdre la place que vous lui avez assignée, en se mettant tout
à coup à être docile et poli.



Cultiver les différences entre les
frères et les soeurs, ce n'est pas les comparer les uns aux
autres. C'est permettre à chacun d'exprimer au mieux ses
potentialités en corrigeant au mieux ses faiblesses. Les
parents doivent accompagner et encourager les uns ou les autres. Un
enfant, un adolescent sont en construction, les parents doivent les
aider à évoluer dans le bon sens en leur montrant
qu'ils ont confiance dans leurs capacités.



Les parents pourront ainsi voir se
réaliser leur souhait le plus cher : réunir pour des
fêtes familiales, leurs grands enfants devenus adultes à
leur tour, et les entendre évoquer avec émotion leurs
souvenirs d'enfance.


Frères et sœurs, ce que cache leur violence





Ils se battent, s’insultent et se déchirent. Les relations
conflictuelles entre frères et sœurs inquiètent souvent les parents. Le
pédopsychiatre Marcel Rufo les décrypte pour nous.








Bercés par le mythe des familles unies, on met au monde deux ou trois
enfants en rêvant de leur offrir, pour la vie, des amis fidèles, des
bras solidaires, des sources de tendresse inépuisables. On se voit dans Les Quatre Filles du docteur March et on se retrouve avec les frères Dalton.


« Je suis totalement désemparé, avoue Michel, 37 ans, père de trois
enfants âgés de 7 à 12 ans. Pas un repas sans insultes, pas un dimanche
sans bagarre… Ils font peser une véritable chape d’agressivité sur toute
la famille. J’oscille entre les tentatives d’arbitrage, les claques,
les punitions. Rien n’y fait. J’ai l’impression qu’ils se détestent. »


Ne pas confondre violence et haine




« Il ne faut surtout pas penser que deux enfants qui se disputent ne
s’aiment pas, commente le pédopsychiatre Marcel Rufo. La fratrie est une
guerre physique, affective, verbale : les petits veulent égaler, voire
dépasser les grands, qui, de leur côté, mettent tout en œuvre pour
préserver leur suprématie. » Cela commence dès la naissance du deuxième
enfant, celui qui vient prendre la place de son aîné dans la vie de la
famille et, imagine-t-il, dans le cœur de ses parents. Bébé pincé
discrètement, menacé d’être étouffé sous un oreiller, gribouillé sur un
dessin parce que "raté", ou encore les questions dérangeantes : « Dis
maman, c’est quand qu’on le rend ? »… En général, cela se tasse avec
beaucoup d’amour et d’attentions. Mais pas toujours.
Dans l’expression d’une violence entre frères et sœurs, il faut
chercher… les parents : désir d’attirer toute leur attention, de capter
leur temps de présence, de rompre avec le cercle vicieux des
comparaisons malsaines… « J’ai treize mois d’écart avec ma sœur, raconte
Maryse, 38 ans. Aux yeux de mon père, elle était la plus belle, la plus
intelligente. Evidemment, elle en rajoutait, me rabaissait tout le
temps. Alors je m’en prenais à elle, je la tapais. Chaque fois, elle
allait se plaindre et je recevais une raclée. Aujourd’hui, je sais que
je faisais ça pour attirer le regard sur moi. Je voulais qu’on m’aime,
et, après tout, même à travers les coups, mon père s’intéressait à moi. »
L’adulte qu’est devenue Maryse n’a pas trouvé d’autre moyen pour
réussir à s’évader de ce cercle infernal que la fuite : « Cela m’a pris
vingt ans mais j’ai enfin rompu. Mes parents vivent loin de moi, près de
ma sœur. Il n’empêche, je continue à ressentir une culpabilité
terrible. Je n’arrive pas à me pardonner ma brutalité. Et pire, je la
porte encore en moi. »
On a parfois le sentiment que les enfants sont
de plus en plus violents. C’est une idée fausse, assure Marcel Rufo : «
Ce ne sont pas les enfants qui sont plus violents, ce sont les parents
qui prêtent plus d’attention à ces sentiments. Dans les années 50-60,
les enfants avaient tellement peur de l’autorité parentale qu’ils
n’osaient pas exprimer leurs rivalités. Aujourd’hui, les enfants se
sentent autorisés à le faire. D’autant que les familles, de plus en plus
sensibilisées au développement psychique de l’enfant, sont réellement à
l’écoute. »

Frère-soeurs : pourquoi certains se détestent toujours


Quand la rivalité perdure...




Les conflits infantiles entre frères et sœurs se résolvent généralement à
l’adolescence, « deuxième chance de devenir le frère ou la sœur de son
frère ou de sa sœur », affirme le pédopsychiatre Marcel Rufo. Pourtant,
ils perdurent parfois à la maturité, où ils resurgissent régulièrement à
l’occasion de discussions plus ou moins houleuses. Comme si les
protagonistes n’avaient pas vraiment grandi. Pourquoi est-il impossible
pour certains de faire la paix à l’âge adulte ? L’inconscient ignore le
temps, nous apprend la psychanalyse. En lui, les rivalités et les
rancœurs de l’enfance demeurent intactes, prêtes à rejaillir. Surtout si
les relations familiales ont été particulièrement ­toxiques, ou si
l’individu adulte tient à camper sur son hostilité d’enfant, refusant
obstinément de lâcher prise, donc d’évoluer. Voici quelques situations
types qui condamnent à se détester au fil des ans !


« Ma sœur n’aurait jamais dû naître »



« Dès que ma mère est rentrée de la clinique avec elle, je l’ai
détestée, déclare Eugénie, 33 ans. J’avais 21 mois. Je me souviens
qu’elle l’a posée sur mon petit lit et que j’ai hurlé : “Mon dodo, je
veux mon dodo, enlevez bébé.” Aujourd’hui, entre nous, c’est silence
radio, aucun contact. » Pour évoquer le choc provoqué par l’arrivée de
sa cadette, Eugénie retrouve sa voix de petite fille, émue comme si le «
drame » s’était produit hier. Pourtant, explique Sylvie Angel,
psychiatre, psychanalyste et thérapeute familiale, « des souvenirs si
précis remontant à l’âge de 21 mois, c’est impossible. Ce sont les
parents qui ont rapporté cette histoire, en ont fait un mythe familial
et, par là même, plus ou moins consciemment, ils ont entretenu
l’hostilité entre les deux filles ». Curieusement, en effet, certains
parents immatures trouvent leur compte dans les rivalités fraternelles :
c’est une façon de continuer à régler leurs comptes avec leur propre
fratrie. Toutefois, l’idée selon laquelle son frère ou sa sœur est un
usurpateur ou une usurpatrice – un double à éliminer – serait de plus en
plus répandue. « Dans les familles traditionnelles de six enfants et
plus, chacun avait une place bien définie. Aujourd’hui, dans les
fratries de deux ou trois, les frères et sœurs sont avant tout des
rivaux », assure la psychologue Françoise Peille.


Ma soeur, ma deuxième mère





Une maladie, une crise conjugale, un projet professionnel envahissant,
l’arrivée d’un nouvel enfant… Autant de situations qui peuvent pousser
une soeur à endosser le rôle de mère assistante ou de substitution. Ce
bouleversement de la dynamique familiale n’est pas sans conséquence sur
le psychisme de chacun.



« La naissance de Jules, de huit ans mon cadet, est le plus beau jour de
ma vie, raconte Marie, 28 ans. Un petit frère juste pour moi, que
j’allais couvrir d’amour ! J’étais émerveillée ! Berceuses, câlins,
biberons… J’étais toujours là pour apaiser ses peurs et ses chagrins.
Vingt ans plus tard, il m’appelle encore quand il a besoin de réconfort
ou de conseils. » À l’entendre, un idéal de relation fraternelle. Jamais
de bagarre, ni de jalousie. « Pour quoi faire ? On s’entend bien. Je
suis comme une maman », affirme-t- elle, heureuse d’avoir échappé aux
lois, souvent cruelles, de la fratrie.


« Dans les grandes familles, il était autrefois naturel que la fille
aînée prenne en charge ses frères et soeurs pour permettre à la mère de
faire les derniers enfants », rappelle Catherine Blanc, psychanalyste,
sexologue et auteure de La sexualité des femmes n’est pas celle des magazines (Pocket, “Évolution”, 2009). Une norme qui, pour le psychanalyste Willy Barral, auteur du Corps de l’enfant est le langage de l’histoire de ses parents (Payot,
2008), « fait encore injonction aujourd’hui lorsque la mère est absente
ou défaillante, même momentanément ». Dans ces familles règne, d’une
certaine façon, l’esprit d’équipe. C’est en tout cas ainsi que Carole,
40 ans, a vécu l’expérience. « Ma mère avait mis sa carrière de côté
pour nous avoir. Lorsqu’elle a voulu retravailler, elle m’a demandé de
prendre le relais. J’avais 10 ans, et j’ai accepté sans hésiter. Je me
suis sentie très fi ère d’être considérée comme une grande et que l’on
me pense capable de remplacer ma mère. »


Une gratification coûteuse



En théorie, chacun peut y trouver son compte. La mère, soulagée d’être
moins sollicitée, rassurée que la fratrie s’organise sans elle. Le père,
pas mécontent d’avoir un accès exclusif à sa compagne. La sœur, qui, en
plus d’éviter d’être détrônée par l’arrivée d’un ou de plusieurs autres
enfants, endosse le rôle de maman, toute-puissante pour son cadet,
garçon ou fille, lui-même heureux d’avoir une autre mère qu’il n’a pas à
partager avec la fratrie ni avec son père. Mais dans la réalité, et
dans les inconscients, ce bouleversement des rôles et des repères n’est
pas sans danger. « Lorsqu’il n’y a plus de rivalité pour obtenir les
faveurs de la mère, observe Catherine Blanc, les enfants s’unissent dans
un même projet : faire sans elle. Cette alliance peut leur apporter
suffisamment d’amour et de sécurité, mais elle n’est pas dénuée
d’agressivité inconsciente. » De la part de la sœur aînée, qui désigne
ainsi la mère comme défaillante et prend symboliquement la place
d’épouse de son père. De la part du petit protégé, qui se venge de la
vraie mère vécue comme décevante, voire « abandonnante ». « Il peut en
résulter un imbroglio de fantasmes œdipiens parfois déstructurants pour
les enfants, qui perdent les repères symboliques indispensables à leur
construction psychique », poursuit la psychanalyste et sexologue.

Selon le neuropsychiatre et thérapeute familial Mony Elkaïm, auteur de Comment survivre à sa propre famille
(Seuil, 2006), « lorsque la mère est absente, au lieu de “charger”
injustement la sœur, il vaudrait mieux répartir les responsabilités sur
les épaules de tous. Le système familial croit se sauver en sacrifiant
une fille, mais dans les faits, le désordre affecte tout le monde
puisque personne n’est à la bonne place ». Certains cadets peuvent
ainsi, plus tard, se rebeller en gratifiant l’aînée d’un légitime « t’es
pas ma mère ! », tandis que d’autres ont le plus grand mal à sortir du
giron réconfortant de ces deux mamans.


Retrouver sa place



Pour le psychiatre et psychanalyste Alberto Eiguer, auteur de Psychanalyse du libertin
(Dunod, 2010), le rôle de sœur-mère est un cadeau empoisonné.
Hypermature, débrouillarde, la sœur aînée avait peut-être déjà tendance à
s’oublier pour se mettre au service des autres. En la reconnaissant
comme un petit adulte, qui jamais ne se plaint ni ne demande d’aide, on
va au-delà, en lui déniant ses faiblesses d’enfant. « Cette
“parentification” l’honore, lui donne confiance en elle, l’assure d’être
une future femme et maman compétente, mais étouffe ses propres désirs,
la prive d’un temps d’insouciance nécessaire à sa réalisation et peut la
mettre à l’écart de sa classe d’âge », reprend Willy Barral. « Parfois,
cela se double d’une relation fusionnelle avec la mère, qui voit en
elle la compensation de ses manques, son prolongement, note Catherine
Blanc. Ce qui n’aide pas la fille à devenir elle-même. » Sans compter
que le poids excessif de ses responsabilités l’empêche de se montrer
fragile ou de prendre son indépendance, au risque d’être à son tour
considérée comme défaillante et de perdre son aura merveilleuse. « Ma
sœur a terriblement culpabilisé de partir de la maison, se souvient
Alexis, 42 ans. Elle m’a dit plus tard avoir eu le sentiment de
m’abandonner… alors qu’en réalité, elle m’a libéré d’une terrible dette :
la voir rater sa vie pour s’occuper de moi. »


Pas facile, en effet, de renoncer à une organisation qui donne à chacun
un rôle, voire un sens à son existence. « Heureusement, nombreuses sont
les occasions, en grandissant, de redistribuer les cartes pour se
retrouver d’égal à égal avec ses frères et sœurs », remarque Catherine
Blanc. En trouvant, par exemple, l’occasion de se réaliser et de faire
sa vie à l’extérieur, afin de lâcher ce qui donnait tant de pouvoir en
famille. Ou en expérimentant, même tardivement, les disputes et autres
chamailleries entre frères et sœurs. Histoire de rattraper un peu de son
enfance ou de son adolescence…

"J’obéissais à ma soeur plus qu’à mes parents"



Nathie, 30 ans, responsable marketing, a une sœur de quatre ans son aînée


« Lorsque j’ai eu 10 ans, mes parents ont traversé une crise conjugale.
Ma sœur, plutôt que de partager ses peurs avec moi, a choisi de faire
écran et de me préserver. Tout à coup, elle n’a plus été la rivale avec
laquelle je me disputais mais une sœur maternante, rassurante. Une
figure d’autorité, intimidante et gentiment sermonneuse. Comme une
grande sœur, elle m’expliquait comment m’habiller pour avoir l’air cool ;
comme une mère, elle s’occupait de moi quand j’avais un coup de blues,
surveillait mes fréquentations, s’assurait que je ne faisais pas de
bêtises et me remettait dans le droit chemin. Je l’écoutais, lui
obéissais. Plus docilement qu’à mes parents, qui profitaient d’ailleurs
de son influence sur moi ! Aujourd’hui, je me sens encore protégée. Elle
s’inquiète de ma manière de me nourrir, de mon moral, de mes finances…
Elle est toujours là. Bien sûr, je m’en veux de l’avoir laissée endosser
seule les difficultés familiales… J’ai eu de la chance qu’elle me mette
à l’abri. Ça ne m’a pas empêchée d’être de temps en temps jalouse de
cette sœur si parfaite, mais ça m’a donné confiance. Car si celle que
j’admirais tant s’était occupée de moi, c’est que je devais valoir
quelque chose ! »


"Je leur donnais le bain, les nourrissais, les consolais de leur chagrin"



Véronique, 30 ans, journaliste, est la deuxième de quatre filles


« Dès leur naissance, ma sœur aînée et moi avons materné nos petites
sœurs. Mon père voyageait beaucoup, alors, quand ma mère a repris le
travail, nous nous en sommes occupées. Je leur donnais le bain, les
nourrissais, les consolais de leurs chagrins. J’étais aussi là pour les
emmener à l’école, suivre leurs devoirs puis, plus tard, leur faire
réviser le bac. Nous avons ainsi tissé une relation inébranlable, un
cocon indépendant des parents. Alors que je manquais de preuves
d’affection, de gestes tendres, l’amour de mes sœurs m’a aidée à me
construire. Il m’a cadrée et rendue forte. À 21 ans, cependant, j’ai
senti que je m’étais un peu oubliée. J’avais besoin de voir qui j’étais
en dehors du rôle gratifiant de mère de substitution. Mes sœurs sur de
bons rails, je suis partie vivre à l’étranger un an. Ce fut violent ! Je
me suis retrouvée face à moi-même, perdue. Une année d’excès, de
questionnements, qui m’a aussi permis de reprendre contact avec ma
personnalité réelle, dégagée des responsabilités que j’avais endossées.
Sortie de la fusion avec mes sœurs, bien que nous gardions des liens
étroits, j’ai retrouvé ma place de fille. Aujourd’hui en couple,
j’attends un peu avant d’avoir des enfants. Je sais que ce n’est pas une
responsabilité à prendre à la légère ! »

 La relation entre frère(s) et sœur(s)  4055136515
http://www.psychologies.com/Famille/Relations-familiales/Soeurs-Freres




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الإسم الحقيقي : ALAA EDDINE KENNOU
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مُساهمةموضوع: رد: La relation entre frère(s) et sœur(s)     La relation entre frère(s) et sœur(s)  I_icon_minitimeالخميس 08 مارس 2012, 21:52

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مُساهمةموضوع: رد: La relation entre frère(s) et sœur(s)     La relation entre frère(s) et sœur(s)  I_icon_minitimeالخميس 08 مارس 2012, 21:55


Quand un second enfant arrive




Il est le premier enfant. Le seul. Le centre de toute votre attention.
Mais voilà qu’un bébé va arriver, le faisant passer du statut d’enfant
unique à celui d’enfant aîné. Comment le préparer au mieux à cette
petite révolution ? Eléments de réponse avec Elisabeth Darchis,
psychologue clinicienne, thérapeute de couple et thérapeute familiale.

Tu veux un petit frère ou une petite sœur ?




Votre premier enfant a deux, trois, quatre ans. L’envie d’agrandir la
famille se fait de plus en plus forte. Si certains parents gardent ce
désir secret jusqu’à ce qu’il se concrétise, d’autres seront tentés de
le partager avec leur enfant. Voire, de l’impliquer à part entière dans
l’ultime décision. Mais si l’on peut demander à l’aîné ce qu’il
souhaite, ce n’est pas à lui que revient le dernier mot. « On peut
échanger sur le désir, mais il ne faut pas donner à l’enfant
l’impression que c’est lui qui choisit », met en garde Elisabeth
Darchis. Chacun reste à sa place. Un oui ou un non est structurant pour
l’enfant ; le laisser trancher entre le oui ou le non serait au
contraire le surcharger d’une lourde responsabilité.


Ni trop tôt, ni trop tard



Nausées, fatigue, parfois même un petit ventre bombé : les premiers
signes de grossesse s’installent. Quand faire part à son aîné de cette
grossesse? « Tout dépend de l’âge de l’enfant, de son caractère »,
explique Elisabeth Darchis. Mais aussi, des parents, et de leur volonté
d’annoncer plus ou moins précocement la nouvelle à l’entourage.
Toutefois, il est préférable d’attendre la première échographie pour
être sûr que le bébé va bien. A un jeune enfant pour qui de longs mois
peuvent paraître une éternité, on pourra attendre encore un peu plus.
Sauf s’il pressent que « quelque chose » se passe. « Lui dire qu’il se
trompe serait néfaste et perturberait sa relation à la réalité », met en
garde la psychologue. Et le moment venu, n’annoncez pas la nouvelle
entre deux portes. « Il faut choisir un moment où chacun est disponible
pour répondre à des questions ou apaiser des craintes », précise la
psychologue.

Un état d’esprit positif



Quel mot utiliser pour annoncer la nouvelle ? Il n’y a pas de formule
magique, mais un état d’esprit à garder en tête : positif. « Il faut
transmettre à son enfant le bonheur d’avoir un frère ou une sœur, la
richesse qu’est le fait d’avoir une fratrie », explique la psychologue.
Alors, les mots couleront naturellement pour annoncer cette « bonne »
nouvelle – et non pour se justifier ou s’excuser, en tant que parent,
d’avoir un second enfant. Car l’enfant, véritable « éponge » a-t-on
coutume de dire, risque de ressentir l’angoisse – celle des parents –
tapie sous ce type de discours dédouanant.





Ce qui n’exclut pas, bien sûr, de rassurer son enfant de son amour. «
Mais inutile d’en rajouter s’il ne montre pas d’inquiétude – cela
sous-entendrait que le bébé représente effectivement un danger »,
précise Elisabeth Darchis.


Régresser pour mieux s’adapter




Alors que le ventre de la maman s’arrondit, l’aîné régresse. Réclame ce
biberon rejeté si fièrement il y a quelques mois. Refait pipi au lit,
mettant en péril une propreté acquise au prix de nombreux efforts. Et
enchaîne les caprices du matin au soir… Faut-il s’inquiéter de ce repli
dans le développement? « Bien au contraire, rassure Elisabeth Darchis.
La régression est généralement bon signe. Elle indique que l’enfant se
prépare. C’est reculer pour mieux sauter. » D’ailleurs, que fait la
femme enceinte en mangeant des fraises ? Le père en prenant quelques
kilos ? Les grands-parents en ressortant leurs albums photos ? Ils
régressent eux aussi. « Tout le groupe se prépare en vue d’accueillir un
bébé qui va fonctionner de manière primitive. La régression est un
signe du réaménagement des places et une préparation au grandissement »,
analyse la psychologue
La jalousie, une réaction naturelle



« Pose le bébé ! ». « C’est ma maman ! » Tout comme la régression, la
jalousie est une réaction naturelle dans ce processus d’accueil d’un
nouveau bébé, explique Elisabeth Darchis : « La jalousie est plutôt bon
signe, elle signifie que l’enfant réalise qu’une nouvelle organisation
se met en place ». Si les parents ne sont pas trop angoissés, cette
jalousie disparaîtra naturellement… Mais risque de perdurer si les
parents s’embarrassent de précautions pour « protéger » l’aîné. Par
exemple, en évitant de s’occuper du bébé devant lui. Ce type d’attitude
ne fait que conforter l’enfant dans le danger que représente le bébé.


Amour parental, amour infini



« J’ai l’impression de trahir ma fille. J’ai peur de ne plus avoir assez
de temps pour elle », s’inquiète Ingrid, enceinte de 8 mois. « Parfois,
les parents confondent le partage de l’amour et le partage du temps.
Mais l’amour parental ne se partage pas comme un gâteau ! Un cœur énorme
se construit pour chaque enfant, et en aucun cas, les cœurs ne se
divisent », insiste Elisabeth Darchis. De plus, c’est une très belle
chose que d’apprendre à son aîné de partager son temps ». Mais pour
transmettre ce message à son enfant, encore faut-il en être persuadé
soi-même. De l’état d’esprit des parents dépend en effet en grande
partie la réaction de l’aîné. Etre convaincu que donner un frère ou une
sœur à son enfant est un cadeau semble être le postulat de base pour
préparer sereinement toute la famille, et pas seulement l’aîné, à
accueillir un nouvel enfant.

A lire




Pour les parents
Frères et sœurs, entre complicité et rivalité, de Elisabeth et Jean-Patrick Darchis (Nathan, coll. J’en parle avec mon enfant, 2009)
On attend un nouveau bébé, de Bernard Geberowicz et Florence Deguen (Albin Michel, 2007)


A lire à son enfant







 La relation entre frère(s) et sœur(s)  41A4RRZCTXL._SL500_AA240__small




J'attends un petit frère, de Marianne Vilcoq (L'Ecole des loisirs, 2004).
Un livre joliment conçu, avec un système de rabats qui montre
l'évolution du ventre de la maman et du bébé. Et, au fur et à mesure que
le ventre grossit et le bébé grandit, les différentes émotions de
l'aîné : colère, jalousie, régression puis enfin, impatience quand à
l'arrivée du petit frère.







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Attendre un petit frère ou une petite sœur et Un bébé à la maison, de Catherine Dolto (Gallimard Jeunesse Giboulées, 2006).
Tout simplement mais avec une grande finesse, les petits ouvrages de
Catherine Dolto permettent d'aborder, avec son enfant, les différentes
périodes, épreuves ou questionnements de la vie d'un tout-petit .
Mention spéciale pour Un bébé à la maison, qui familiarisera l'aîné avec le quotidien d'un nourrisson : les pleurs, les tétées, les visites au bébé, etc.







 La relation entre frère(s) et sœur(s)  Trotro_small




Trotro et Zaza sa petite sœur, Bénédicte Guettier (Gallimard-Jeunesse, 2007). Les
parents de Trotro sont bizarres ces derniers temps. Maman oublie de
préparer le biberon, papa ne gronde plus... Et pour cause, ils ont un
secret : ils vont avoir un bébé. De l'annonce de la grande nouvelle au
retour du bébé à la maison, en passant par la grande question - fille ou
garçon - , on suit l'âne Trotro dans cette grande aventure qu'est
l'arrivée d'un petit frère ou d'une petite soeur. L'enfant aimera
s'identifier à Trotro, l'un de ses héros préférés.







 La relation entre frère(s) et sœur(s)  Tout-change_small




Tout change, de Anthony Bronw (L'Ecole des Loisirs, 2004).
Ce matin, le papa de Joseph est parti chercher sa maman en lui
annonçant que les choses allaient changer. Mais qu'est-ce qui va changer
? Joseph se met alors à voir de drôles de choses : la bouilloire se
transforme en chat, la fauteuil prend des airs de gorille... Jusqu'au
dénouement : papa et maman ramènent... une petite soeur ! Une manière
poétique d'aborder la venue d'un bébé.


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مُساهمةموضوع: رد: La relation entre frère(s) et sœur(s)     La relation entre frère(s) et sœur(s)  I_icon_minitimeالخميس 08 مارس 2012, 21:55

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مُساهمةموضوع: رد: La relation entre frère(s) et sœur(s)     La relation entre frère(s) et sœur(s)  I_icon_minitimeالثلاثاء 13 مارس 2012, 17:36

mércii bcp mais dsl fch kaykbroo les enfants les relationS katbdl entr les frères
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KHãőÚlä ÇHáfÍK
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مُساهمةموضوع: رد: La relation entre frère(s) et sœur(s)     La relation entre frère(s) et sœur(s)  I_icon_minitimeالثلاثاء 13 مارس 2012, 18:06

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