المواضيع الأخيرة | » INFORMATIONS SUR LES MALADIES : SYMPTÔMES, DIAGNOSTIC, TRAITEMENTS, PRÉVENTIONالأحد 13 يونيو 2021, 15:01 من طرف abdelhalim berri» Il était une fois un vieux couple heureux de M. Khair-Eddineالسبت 10 أبريل 2021, 14:22 من طرف abdelhalim berri» أحلى صفات المرأة والتي تجعل الرجل يحبها بجنونالخميس 17 أكتوبر 2019, 17:59 من طرف abdelhalim berri» بحث حول العولمـــــــــــــــةالأربعاء 10 يوليو 2019, 00:22 من طرف abdelhalim berri» L'intégration des connaissances en littérature Françaiseالأربعاء 10 يوليو 2019, 00:17 من طرف abdelhalim berri» Dr Patrick Aïdan : Chirurgie robotique thyroidienne par voie axillaireالأربعاء 10 يوليو 2019, 00:15 من طرف abdelhalim berri» كيف نشأت الفلسفةالثلاثاء 09 أبريل 2019, 23:53 من طرف abdelhalim berri» زجل :الربيع.الجمعة 21 ديسمبر 2018, 14:05 من طرف abdelhalim berri» le bourgeois gentilhomme de Molière الجمعة 21 ديسمبر 2018, 14:02 من طرف abdelhalim berri» مساعدة الإثنين 09 يوليو 2018, 01:12 من طرف abdelhalim berri |
احصائيات | هذا المنتدى يتوفر على 8836 عُضو. آخر عُضو مُسجل هو سعد فمرحباً به.
أعضاؤنا قدموا 87005 مساهمة في هذا المنتدى في 16930 موضوع
|
تدفق ال | |
|
| CONSEILS POUR LA RÉDACTION | |
| | كاتب الموضوع | رسالة |
---|
abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
عدد المساهمات : 17537 التنقيط : 96822 العمر : 64 تاريخ التسجيل : 11/08/2010 الجنس :
| موضوع: CONSEILS POUR LA RÉDACTION الأحد 09 يونيو 2013, 00:24 | |
| CONSEILS POUR LA RÉDACTIONA. Lire le sujet Déterminer éventuellement la combinaison qu'il faut faire de ces différentes sortes de texte B. Se donner des barrières
- Noter au brouillon ce à quoi il faudra faire
particulièrement attention (par ex. qui est le narrateur, quels sont les personnages, quelles sont les cironstances, quels sont les temps à employer, etc.)
- Réfléchir au déroulement
narratif, descriptif, argumentatif AVANT de se lancer dans la rédaction : se donner des lignes directrices fortes (dont on pourra éventuellement s'affranchir à mesure qu'on rédige, car on découvre parfois/souvent d'autres déroulements possibles à mesure qu'on écrit, notamment si on a le temps de faire un brouillon)
- Faire un brouillon partiel ou complet,
c'est à dire un document de travail qui se prêtera à :
- une relecture critique minutieuse
- des ajouts, des modifications, des suppressions de mots, de phrases,
de paragraphes. | Inutile de faire un brouillon si vous n'y apportez pas (à mesure ou ensuite) de nombreuses corrections : ajouts, suppressions, déplacements, modifications, etc. ! | En cas de devoir en temps limité (en classe, lors d'un examen, etc.), se donner des limites de temps précises et consulter régulièrement sa montre. Éventuellement limiter le brouillon à un strict minimum ou passer régulièrement du brouillon au propre (n'utiliser le brouillon que pour rédiger des phrases, des paragraphes qui posent un problème) se ménager du temps pour au moins relire une fois l'ensemble du devoir C. Relire le devoir
- En vérifiant qu'il ne manque pas de mots
(ou des expressions entières), qu'il n'y a pas de mots écrits deux fois l'un derrière l'autre (notamment à la tourne des pages)
- En faisant la chasse aux fautes d'orthographe
et de ponctuation, aux répétitions pouvant être supprimées par des pronoms, des synonymes, etc.
- En vérifiant les constructions des phrases.
A. Il faut structurer un récit
- L'histoire racontée dans un récit s'organise autour d'une
chronologie (enchaînement d'actions). Il faut donc veiller aux marqueurs du temps, ainsi qu'à la vraisemblance de toutes les marques de chronologie.
- On peut recourir au schéma narratif
pour constuire le récit :
- la 1ère partie (introduction) correspond à la situation
initiale qui donne le plus de renseignements possible : qui ? où ? quand ? avec qui ? dans quelles circonstances ? dans quel but ? etc.
- la 2e partie (histoire) comporte les faits ensuite rapportés
en plusieurs paragraphes, le plus souvent en suivant un ordre chronologique (cette partie correspond à la «perturbation», aux «péripéties», à la «résolution»). Veiller à aller à la ligne chaque fois qu'est employé un connecteur temporel, spatial, logique qui organise la narration. C’est pourquoi il est bienvenu d'enchaîner les paragraphes par des adverbes variés (ensuite, puis, alors, néanmoins, enfin, etc.)
- on termine en général par quelques lignes qui ferment
le récit (constituent souvent la situation finale).
B. Deux points de vue narratifs sont possibles
- Récit à la 1ère personne : les faits sont vécus par le narrateur (rappel : celui-ci est un
personnage, à ne pas confondre avec l'auteur [l'auteur est l'élève écrivant la rédaction !] )
- Récit à la 3e personne : le narrateur n'apparaît pas directement.
C. Un récit peut recourir :
- au système temporel où le présent
est le temps de référence (système du discours, ancré dans l’énonciation). Les événements passés sont rapportés au passé composé, les actions à venir au futur.
- au système temporel qui prend comme point de référence
un moment coupé du présent du narrateur (système du récit, non ancré dans l’énonciation). Les verbes sont surtout au passé simple pour les actions de premier plan, à l'imparfait pour l'arrière-plan (décor, actions secondaires, réflexions et commentaires).
D. Vous pouvez enrichir un récit par des passages :
- de dialogue (Voir “Écrire
un dialogue”)
- de description (Voir “Écrire
une description / un portrait”)
- d'analyse des sentiments
- d'argumentation : ils peuvent intervenir
directement dans le récit ou prendre la forme d'un dialogue. Ils doivent toutefois rester assez brefs pour ne pas éloigner trop longtemps l'attention du lecteur de la suite des événements. Mais il ne faut pas perdre de vue qu'un argument, c'est une idée qu'on étaye par des justications et des exemples. (Voir “Écrire un passage argumentatif”)
3/ ÉCRIRE UNE SUITE DE TEXTE |
|
|
| A. Une suite de texte doit respecter :
- le type de texte (réaliste,
science-fiction, fantastique)
- la sorte de narrateur (1ère
ou 3e personne), en prenant en compte son âge, sa condition sociale, etc. si ceux-ci transparaissent
- le système temporel utilisé : système temporel du Discours
(centré sur le présent), système du Récit (centré sur le passé simple)
- l'époque où l'auteur
a situé l'action
- le lieu
- les personnages déjà
cités et leurs caractéristiques (âge, caractère, milieu social, façon de parler)
- le ton et la langue
de l'auteur (humour)
Appuyez-vous sur les réponses que vous avez faites aux questions, lorsque la rédaction suit une lecture expliquée ou une étude de texte.
B. Il faut donc veiller à :
- ne pas
introduire d'anachronismes (pour le XIXe siècle, pas de lecture ‘mp3’ ni de ‘TGV’ !)
- ne pas trop vous
éloigner de l'extrait en perdant de vue les personnages principaux, leurs préoccupations, leurs recherches/désirs, etc.
- vous servir de toutes les indications données
dans le texte. La dernière phrase est parfois essentielle car elle oriente vers une suite possible
- garder un ensemble cohérent
même s'il est totalement différent de la fin écrite par l'auteur (quand vous la connaissez).
C. Commencez et finissez correctement votre devoir
- Votre suite doit commencer par la dernière
ou les deux dernières phrases de l'extrait, citées sans guillemets.
- L'histoire que vous écrivez n'aboutit pas nécessairement
à une situation finale stable, mais doit constituer un tout (à la manière d'un épisode de feuilleton.). Il n'est pas interdit de finir sur un point d'interrogation ménageant un terrible suspense !
A. Style direct
- Dans un dialogue les personnages parlent au style
direct ; les temps et modes les plus employés sont donc le présent, le passé composé, le futur de l’indicatif, ainsi que l'impératif.
- Mais il est bienvenu d’écrire quelques phrases au style
indirect, voire au style indirect libre (attention dans ces cas à la concordance des temps) : cela fait varier la manière de rapporter des paroles et prouve que vous savez les employer.
B. Récit et dialogue / Choix des paroles
- Le plus souvent un dialogue s'insère dans un récit
qui présente les locuteurs et les circonstances de la rencontre.
- Il faut absolument éviter les
reparties banales : « Bonjour Margot, ça va? - Oui, ça va, et toi, Anthony ? - Oui. » Un dialogue doit faire avancer l'action, mieux faire connaître les personnages, etc.
- Ne pas perdre de vue le but que poursuit
chaque interlocuteur : veut-il expliquer, décrire, faire admettre, intimider, etc. ?
- Insister dans le cadre d'un dialogue inséré dans un récit
sur tous les moyens non verbaux (hors des paroles) que met en oeuvre chaque interlocuteur pour atteindre le but qu'il s'est fixé (gestes, voix, silences, etc.)
- Veiller à ce que les paroles prononcées ne présentent
pas d'anachronismes de forme (par ex., vocabulaire trop moderne dans la bouche d'un personnage d'autrefois).
- Ne pas céder à la facilité
qui consiste à se permettre des familiarités (vocabulaire, constructions), voire des vulgarités sous prétexte que les dialogues — en style direct notamment — correspondent à de l'oralité. L'une ou l'autre familiarité est tolérée si vous l'encadrez soigneusement de guillemets (utilisez alors les guillemets anglais [ “ ” ] pour les distinguer des guillemets ouvrant et fermant les dialogues [ « » ])
C. Pour un dialogue argumentatif Le schéma à suivre peut être le suivant :
- le 1er locuteur : argument 1 ;
- 2e locuteur : contre-argument 1 + nouvel argument 2 ;
- 1er locuteur : contre-argument 2 + nouvel argument 3, etc.
D. La présentation d'un dialogue obéit à une disposition particulière
- Après la dernière phrase du récit, il faut mettre
deux points [ : ] et aller à la ligne pour la première prise de parole
- Avant le début de la première réplique, ouvrir
les guillemets (utiliser les guillemets français [ « » ] )
- Lorsque un nouveau personnage intervient, aller à la ligne et commencer
par un tiret [ — ]. Pour chaque intervenant, suivre les mêmes règles (à la ligne, tiret)
- Ne fermer les guillemets qu'à
la fin de l'échange ou lorsque celui-ci est interrompu par des passages narratifs ou descriptifs, voire par des commentaires du narrateur.
- avant le dialogue et / ou à l'intérieur, employer des
verbes (introducteurs) de paroles. Utiliser le moins possible “dire” mais varier en fonction du ton (ex. : reprocher), de la force de la voix (ex. : crier, murmurer), du contenu de la réplique (ex. : demander, répondre). Ajouter des compléments circonstanciels de manière (ex. : vivement, mollement, hargneusement, avec douceur, sans se préoccuper de l'effet que produisaient ses paroles, etc.) ; ceux-ci aideront à faire comprendre les intentions de celui qui parle.
- N'oublier ni les points d'interrogation
ni les points d'exclamation.
- Attention à ne pas répéter sans cesse les mêmes
prénoms dans la présentation du dialogue ; l'utilisation de pronoms personnels ou démonstratifs permet d'éviter les répétitions. Mais attention à la précision des indications lorsqu’il y a plus de deux personnages entrant dans l’échange de paroles.
- S'interdire tout dialogue présenté à la manière
des textes théâtraux (nom en tête de réplique), sauf si c'est un texte théâtral qu'il faut produire.
- Le niveau de langue des réparties
doit correspondre au statut des personnages : soutenu ou courant, parfois familier (y recourir avec précautions), mais les vulgarités sont à exclure à tout prix.
5/ ÉCRIRE UNE DESCRIPTION / UN PORTRAIT |
|
|
| A. À quoi cela sert-il ?
- Une description permet au lecteur de se représenter
un lieu, un objet. Décrire une personne, c'est faire son portrait (celui-ci comporte un volet physique, un volet moral).
- La description et le portrait marquent des temps
d'arrêt dans le récit. Ils permettent souvent de préparer l'action à venir en donnant des indications sur les lieux ou sur le caractère des personnages. Ils peuvent aussi servir à créer une atmosphère, à retarder le récit (suspense), etc.
- Toute description découle d’un choix : il ne faut pas perdre de vue dans quelle intention on veut faire la description
(faire peur, faire sourire/rire, faire rêver, etc.) Une description ne décrit donc jamais tout !
- Une description/un portrait commence souvent lorsqu’un personnage
découvre quelqu'un ou quelque chose de nouveau en même temps que le lecteur…
B. Comment organiser une description ?
- Commencer en indiquant une impression générale.
Se tenir à cette impression générale pour choisir les détails. Ne pas hésiter, toutefois, à créer des contrastes en évitant pourtant la confusion (ex. : si l'impression générale est la monotonie, choisissez quelques rares détails mineurs qui rompent cette monotonie).
- Deux manières d'organiser la description
d'un lieu :
- le lieu est évoqué par un observateur
qui se déplace et qui décrit la réalité qui l'entoure au fur et à mesure qu'il la découvre. Les notations sont enchaînées par des connecteurs temporels comme “d 'abord”, “puis”, “enfin”, ...
- le lieu est évoqué par un observateur
immobile, peut-être placé en hauteur, qui voit l'ensemble du paysage. La description est alors organisée par des connecteurs spatiaux : “au loin”, “à mes pieds”, “à gauche”, “à droite”, ...
- dans les deux cas, donnez de la cohérence
en choisissant de suivre le parcours de découverte (cas 1), ou en adoptant un mouvement lent du regard (cas 2).
Lorsque vous écrivez un portrait, Veillez à suivre un ordre : détails physiques puis traits de caractère par exemple. Choisissez les éléments les plus significatifs de la personne que vous évoquez, en fonction de l'impression générale. En fin de description ou de portrait, vous pouvez évoquer à nouveau l'impression générale, mais en essayant de la formuler autrement qu'en introduction : introduisez notamment des nuances. C. Pour décrire, utilisez :
- des termes précis, voire techniques,
quand le sujet s'y prête (détails architecturaux, détails anatomiques ou vestimentaires, par ex.)
- des groupes nominaux enrichis par des
adjectifs qualificatifs précis (formes, couleurs, matières...), des compléments de noms, des propositions relatives ; autrement dit : des expansions du nom
- des verbes de perception (“voir”,
mais aussi “distinguer”, “apercevoir”, “entendre”, “remarquer”, etc.)
- des compléments circonstanciels
- des verbes de mouvement pour que, par
ex., un décor statique soit dynamisé (ex. : la route creusait un sillon noire dans la plaine monotone)
- occasionnellement l'accumulation pour
évoquer un décor, un costume foisonnant ; les termes doivent être très précis dans ce cas. Mais bannir l'expression “il y a”, surtout si elle est suivie d'un GN qui ne comporte pas de nombreuses expansions du nom (GN développé).
- le présent dans un texte utilisant
le système temporel du discours, l'imparfait dans un texte utilisant le système temporel du récit.
A. Commencez par bien clarifier dans votre esprit :
- qui envoie la lettre (l'émetteur) : son prénom, son nom, son âge, son caractère, son milieu
social, etc.
- qui va recevoir la lettre (le destinataire) : mêmes caractéristiques, et les liens qu'il a avec l'émetteur
(parent, ami, supérieur hiérarchique)
- quand la lettre est écrite (date)
et d'où la lettre est envoyée (lieu)
- dans quel but la lettre est écrite
(visée) : récit d'un événement, demande, partage de sentiments, polémique, etc.
B. La présentation d'une lettre obéit à des contraintes précises
- En haut à droite, lieu et date
- Plus bas, au milieu de la page, prénom ou titre du destinataire
précédé parfois d'un adjectif (“Chère Juliette” ou bien “Monsieur”, par ex.)
- Plus bas, un paragraphe d'introduction : vous expliquez les circonstances
dans lesquelles vous écrivez et les raisons de votre lettre (déclaration d 'amour ou bien demande en mariage) ; c’est le moment où vous cherchez à mettre le destinataire dans de bonnes dispositions à votre égard.
- Le développement fait l'objet
de plusieurs paragraphes.
- Dernier paragraphe de conclusion avec une formule
de politesse à adapter au destinataire (je t'embrasse ou bien je vous prie d 'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée) ;
- Signature à adapter à
celui qui recevra votre lettre (“Roméo” ou bien “Monsieur Montaigu”). Attention à ne jamais signer de votre vrai nom, au risque de voir votre épreuve annulée !
C. Le temps de référence Dans une lettre, c’est le présent de celui qui écrit (ancrage dans la situation d’énonciation). Les événements passés sont évoqués au passé composé, ceux qui vont arriver au futur. Le passé simple est exclu, mais l’imparfait peut se trouver pour les événements secondaires, répétés, pour les descriptions, etc. | |
| | | abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
عدد المساهمات : 17537 التنقيط : 96822 العمر : 64 تاريخ التسجيل : 11/08/2010 الجنس :
| موضوع: رد: CONSEILS POUR LA RÉDACTION الأحد 09 يونيو 2013, 00:27 | |
| 7/ ÉCRIRE UN PASSAGE ARGUMENTATIF | | | |
Les sujets demandent de plus en plus souvent d'insérer un passage argumentatif dans un récit. Il s'agit alors de présenter, sous forme de dialogue ou non, une réflexion ordonnée sur un problème précis, concret ou non. A. La structure du paragraphe argumentatif
- On peut commencer par ex. par “Je pense que...” pour exposer
ensuite l'idée (ou la thèse)
- On prouve ensuite cette opinion en
donnant des arguments
- On l'illustre par des exemples.
B. Donner son opinion ne suffit pas. Il faut être capable :
- d'envisager d'autres points de vue
que le sien et de les discuter en imaginant quels pourraient être les arguments employés.
- de prouver ce qu'on avance par des
arguments
- de trouver des exemples adaptés,
tirés de son expérience, mais aussi de ses lectures, de films, d'émissions télévisées, de l'actualité, de l'Histoire. Varier les sources d'exemples. Éviter de citer des exemples citant des faits soi-disant vrais, mais qui ne sont pas sûrs.
Les exemples sont des situations concrètes qui viennent à l'appui de ce qui a été dit. Ils sont donnés directement ou introduits par des expressions telles que : “par exemple”, “on le voit bien quand...”, “je m’en suis rendu compte lorsque...”
C. Organiser l’argumentation L'essentiel est toujours de donner au passage argumentatif une cohérence et une logique solides, de se garder d'une réflexion hâtive ou trop superficielle et de veiller à l' insérer “avec naturel” dans le reste du récit. 8/ ÉCRIRE UN ARTICLE DE JOURNAL | | A. Avant de rédiger, commencer par définir clairement :
- à qui s'adresse le journal ? Quel âge ont les lecteurs ? Ne sera pas écrit le même article pour un journal de classe
ou pour un quotidien d'information générale
- quel est le contenu de l'article ?
En général, le journaliste commence par présenter des faits puis il donne son opinion
- dans quel but cet article est-il écrit ? La visée d'un article est souvent argumentative : il s'agit de convaincre
de faire ou de ne pas faire quelque chose.
B. Lorsqu'on rédige l'article, il faut :
- lui donner un titre. Il doit être
bref et donner envie de lire ce qui suit. Ce sont fréquemment des groupes nominaux (ex : Une disparition mystérieuse). Les jeux de mots sont bienvenus (ex. : «Haut les nains !», article sur les nains de jardin paru dans la Nouvelle République du Centre-Ouest)
- donner des informations précises
et aussi complètes que possible (en fonction du but poursuivi par l'article)
- ne pas émettre d'opinion s'il
s'agit d'un article court n'ayant pas pour but de convaincre le lecteur ou d'emporter son adhésion ; au contraire réserver à l'expression de l'opinion du journaliste une bonne part de l'article si celui-ci est long et a pour but de convaincre le lecteur (préparer cette opinion en utilisant dans la partie informative des mélioratifs, des péjoratifs)
- faire apparaître la structure de l'article
(elle doit être claire) : utiliser des sous-titres introduisant les groupes de paragraphes qui développent chaque idée principale.
- utiliser des phrases plutôt brèves.
Un article de journal doit être facile et agréable à lire
- signer soit par des initiales soit
par un nom. (Mais écrire un nom fictif, sans quoi votre épreuve risque d'être annulée, s'il s'agit d'un examen !!!)
| |
| | | | CONSEILS POUR LA RÉDACTION | |
|
مواضيع مماثلة | |
|
| صلاحيات هذا المنتدى: | لاتستطيع الرد على المواضيع في هذا المنتدى
| |
| |
| |