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| أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! | |
| | كاتب الموضوع | رسالة |
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يحيى سالم مشرف على ركن إباعات الأعضاء
الإسم الحقيقي : yahya البلد : اليمن
عدد المساهمات : 7 التنقيط : 42245 العمر : 32 تاريخ التسجيل : 22/04/2013 الجنس :
| موضوع: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 18:55 | |
| شباب أرجو منكم المساعدة الدكتور يبغى مننا نعمل قروب ونختار موضوع ونتحدث عنه باللغة الفرنسية ... ما أعر ف أي موضوع أختار ... أرجو أن تهتموا للأمر ... بانتظار ردودكم بأسرع وقت ممكن..!!! | |
| | | abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
عدد المساهمات : 17537 التنقيط : 96732 العمر : 64 تاريخ التسجيل : 11/08/2010 الجنس :
| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:28 | |
| SUJET 1 : La délinquance juvénile
délinquance juvénile au Maroc a pris une grande ampleur. Elle révèle une inadaptation sociale plus au moins grave, une grande immaturité et une impulsion incontrôlée. Casablanca, capitale économique, abrite des milliers d'enfants innocents délaissés par leurs parents et qui n'ont pas les moyens de subvenir à leurs besoins vitaux. Ces enfants confrontent seulsle monde extérieur. Ils sont maltraités et marginalisés. Ils se trouvent dans un état pitoyable et n'ont qu'un seul refuge, la rue. C'est ainsi qu'ils commencent à se droguer, voler, mendier…Tous les moyens sont bons pour trouver de quoi se nourrir pour continuer à vivre. Le Pr. Said ramadan, psychologue, explique les raisons de la montée en flèche de ce phénomène il ajoute «c'est un retournement prévisible de la situation qui va en empirant, avec des comportements qui se transforment en véritables échanges d'agressions adoptés en habitude dans un refus de l'autre, une affirmation de soi, un rejet de tout ce qui ne vient pas de l'entourage immédiat de la personne perçue comme adversaire, un ennemi à éliminer.
Et tous les moyens sont bons pour y parvenir »laisser des enfants dans cet état est-il de la faute des parents ou bien est ce la notre ? Les voir se détruire sans bouger le petit doigt est lamentable.
Comment rester indifférent devant un jeune garçon de 12 ans privé d'affection, de scolarité qui ne demande qu'a être pris en charge ? Malheureusement, sa dépendance de la cigarette l'empêche de mener une existence sereine : « mes parents sont décédés et j'ai été confié à ma tante qui a 6 enfants. Elle m'a dit qu'elle ne peux plus nourrir une bouche de plus et qu ‘elle en a marre de me voir roder dans la rue sans lui apporter un sou. Elle m'a mis à la rue. Cette femme est sans pitié et elle est foncièrement mauvaise ». Comment peut-on être aussi sarcastique de donner naissance à de pauvres enfants pour ainsi les laisser seuls, sans défense et facilement influençables ?
Il est évident que les associations de protection de l'enfance font leur possible pour mettre fin à cette tragédie. Mais, il faut encore multiplier les efforts et songer à l'avenir des plus démunis d'entre nous en sensibilisant nos élèves et en les incitant à se documenter d'avantage sur ce sujet. Un jeune délinquant sera d'autant plus incité à commettre des délits quand le climat familial et l'environnement social est mauvais.
La délinquance juvénile est un problème très malaisé à cerner. Si on arrive à constater les méfaits, on peut difficilement en analyser les causes qui sont très profondes et liées à des phénomènes de société très complexe. Une enquête relève que c'est dans les groupes les plus faibles du point de vue socio-économique, que le risque de délinquance systématisée est plus élevé.
Le risque augmente quand les parents ne contrôlent pas ce que font leurs enfants dans les lieux publics et à l'école. Le jeune a besoin d'être rassuré. On doit lui donner l'amour dont il a besoin et surtout lui faire confiance afin de lui permettre d'évoluer, et aussi le pousser à participer à des activités. Il se sentira très utile et fière d'accomplir des tâches. Si le jeune refuse d'admettre ses fautes et continu à faire fausse route, les sanctions ne doivent pas forcément être très sévères.
Dans ce cadre, Mohamed Lididi, directeur des affaires civiles au ministère de la justice, estime que « les mesures prises à l'encontre des mineurs doivent être conçues comme étant des mesures protectrices et pédagogiques ». A signaler que la majorité pénale est atteinte à l'age de seize dix huit ans, les juridictions de jugement peuvent, par décision motivée, remplacer ou compléter les pénalités de droit commun par l'une ou plusieurs des mesures de protection ou de rééducation. (Arts 514 du code de la procédure pénale).
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| | | abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
عدد المساهمات : 17537 التنقيط : 96732 العمر : 64 تاريخ التسجيل : 11/08/2010 الجنس :
| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:30 | |
| Causes de la délinquance juvénileLa délinquance a longtemps été interprétée comme un phénomène héréditaire, lié à des déficiences intellectuelles ou des troubles mentaux. Mais ce trait est loin d'être déterminant. En effet, la délinquance juvénile résulte d'un ensemble de facteurs dont l'impact est plus ou moins important selon les individus. Ces facteurs peuvent être regroupés en trois grands groupes : les facteurs liés à la psychologie même de l'adolescent et à la fragilité qui caractérise ce stade du développement humain ; les facteurs familiaux ; les facteurs sociaux (en particulier la vie scolaire) et économiques. À la différence de l'homme adulte, qui supporte volontairement certaines contraintes pour s'adapter à la société, le jeune délinquant rejette les valeurs de cette société. Il la ressent comme injuste et impersonnelle, et considère les règles sociales comme autant d'obstacles à la satisfaction de ses désirs. Mais cette attitude de refus n'est au fond que l'exagération d'une tendance naturelle à tous les adolescents. Ce phénomène peut en outre être accentué par des carences éducatives, dues à l' affaiblissement de l'autorité familiale, ou affectives, dans des situations où les parents sont désunis et où l'enfant souffre des tensions et des déséquilibres qui en découlent. L'échec scolaire et, plus généralement, les difficultés d'insertion scolaire et professionnelle jouent également un rôle considérable dans la délinquance juvénile. L'adolescent qui se sent en marge va rechercher la compagnie de jeunes qui lui ressemblent, ce qui favorise un phénomène d'incitation et de passage à l'acte. Le groupe ainsi formé se substitue à la famille qui fait défaut ou qui ne comprend pas les problèmes qui se posent aux jeunes. La bande permet en quelque sorte d'échapper à la réalité sociale du monde des adultes. L'adolescent cherche à s'y créer la position à laquelle il aspire et qu'il ne trouve pas dans la vie scolaire. Ces facteurs sont renforcés en milieu urbain, où les inégalités sociales sont perçues de manière plus aiguë, où de multiples sollicitations peuvent accentuer les tendances naturelles de l'adolescent à la révolte. Cela explique la fréquence des vols d'objets associés à l'idée d'aisance (automobiles, vêtements de marque, téléphones portables), et met en lumière le rôle joué par les facteurs économiques et sociaux dans la délinquance juvénile. Celle-ci apparaît en effet liée de manière structurelle au fonctionnement de la société de consommation et à l'existence de fortes inégalités sociales. Évolution de la délinquance juvénileIl est difficile de déterminer statistiquement l'importance du phénomène de délinquance chez les jeunes. En effet, toutes les infractions ne sont pas signalées – les parents préférant souvent régler eux-mêmes les problèmes que pose le comportement de leurs enfants. On doit tenir compte en outre des modifications intervenues sur le plan législatif (selon les périodes, certains actes sont pénalisés, tandis que d'autres sont dépénalisés). Quelques grandes tendances marquent cependant l'évolution de la délinquance juvénile en France (et de manière plus générale en Europe et en Amérique du Nord). On a enregistré pendant la Seconde Guerre mondiale une recrudescence de la délinquance juvénile, suivie d'une accalmie dans les dix premières années de l'après-guerre. On constate une reprise très nette à partir des années 1960 (avec l'apparition des « blousons noirs ») puis, à partir des années 1980, une progression de la délinquance juvénile tant au niveau quantitatif que qualitatif. De manière générale, les évolutions récentes sont marquées par un rajeunissement de l'âge d'entrée dans la délinquance et une aggravation des actes de délinquance. Toutefois, certaines caractéristiques de la délinquance juvénile restent inchangées. Ainsi les délits contre les biens et la propriété (vols, cambriolages) représentent les deux-tiers des infractions relevées chez les jeunes. De même, les violences graves contre les personnes ne concernent qu'un nombre relativement limité de mineurs délinquants. Dans ce cadre, les statistiques criminelles font cependant ressortir une hausse des violences contre les institutions (vandalisme contre les biens publics, formes d'irrespect et d'agression contre les personnes représentant les institutions), une augmentation des violences entre jeunes et le développement du trafic de la drogue chez les mineurs. Enfin, les statistiques criminelles permettent de constater la multiplication des incivilités imputables aux mineurs : actes de désordre, insolence, insultes, dégradations des lieux de vie, etc. Lutte contre la délinquance juvénileJusqu'au début du XX e s., la lutte contre la délinquance juvénile a surtout porté sur la répression. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, une nouvelle conception de la justice des mineurs voit le jour, instituée en France par l' ordonnance du 2 février 1945 sur l'enfance délinquante. Deux principes sont posés : la primauté de l'éducatif sur le répressif (la mesure éducative doit être la règle et la sanction, l'exception) ; le principe d'une responsabilité pénale atténuée et échelonnée en fonction de l'âge du mineur, encadré par la mise en place de juridictions spécialisées (juge des enfants, tribunal pour enfants, chambre spéciale de la cour d'appel, cour d'assises des mineurs). Trois tranches d'âges sont ainsi strictement définies : les jeunes délinquants âgés de moins de treize ans ne peuvent pas être déclarés pénalement responsables et ne peuvent faire l'objet que de mesures éducatives ou d'un placement dans un établissement spécialisé ; les délinquants entre treize et seize ans peuvent être sanctionnés par des peines d'emprisonnement mais bénéficient de l'excuse de minorité, qui atténue leur peine par rapport à celles prévues pour les délinquants adultes ; enfin les délinquants de seize à dix-huit ans ne bénéficient pas nécessairement de l'excuse de minorité. Dans ce nouveau cadre, une direction de l'éducation surveillée voit le jour ; elle devient en 1990 la direction de la protection judiciaire de la jeunesse, et est chargée d'assurer une mission d'éducation et de prévention auprès des jeunes mineurs délinquants ou en danger. En effet, la caractéristique de cette justice des mineurs est de mettre l'accent sur la protection des mineurs, qu'ils soient délinquants ou en situation de danger (maltraitance, absence des parents, fugue, etc.), et d'instaurer des juridictions communes. Dans ce dispositif, le juge des enfants occupe une fonction clé, puisqu'il est compétent à la fois pour prescrire des mesures d'assistance éducative (lorsqu'un mineur est en danger dans sa famille) et pour prescrire des mesures de rééducation (dans le cas d'un mineur délinquant). Au cours des années 1990, les dispositifs de l'ordonnance de 1945 sont remis en cause face à l'aggravation de la délinquance juvénile, imputable pour certains à l'échec d'une justice qui donne la priorité à l'éducation et qui ne sanctionne pas assez. C'est pourquoi en 2002 une nouvelle loi vient renforcer la répression et les peines privatives de liberté. Elle institue notamment des sanctions pénales, appelées sanctions éducatives, à l'encontre des enfants dès l'âge de dix ans, et autorise le placement des mineurs récidivistes dans des centres éducatifs fermés. Les spécialistes s'accordent à dire que la sanction a une place dans l'éducation, mais elle ne peut pas être la seule mesure prise à l'encontre des mineurs. Le traitement imposé aux jeunes délinquants n'a de sens que s'il leur permet de se réhabiliter et que s'il leur redonne des chances d'insertion. En outre, la lutte contre la délinquance juvénile dépend pour une bonne part de l'efficacité des méthodes de prévention mises en place pour protéger les jeunes et les aider. La société peut en effet être considérée comme la première responsable des fautes que l'on impute à la jeunesse, car elle n'offre pas toujours aux jeunes tout ce qu'ils sont en droit d'en attendre : participation à la vie collective, réussite scolaire et perspectives d'emploi, possibilité d'occuper leurs loisirs (équipements sportifs, maisons de jeunes). Un certain nombre de pays, dont les États-Unis, ont adopté un système visant à rechercher les jeunes inadaptés pour les soumettre à un traitement de prévention. Il s'agit de surveiller certains adolescents qui n'ont encore commis aucune infraction, mais que l'on considère déjà comme des prédélinquants. Le procédé, également envisagé en France afin de dépister les futurs délinquants dès l'école maternelle, présente toutefois le grave inconvénient d'être arbitraire. Les résultats obtenus n'ont d'ailleurs guère été positifs jusqu'à présent | |
| | | abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
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| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:31 | |
| La délinquance juvénile est un phénomène social en constante expansion dans une société où l'autorité des familles est en déclin. Nous allons tenter de définir ce qu'est la délinquance juvénile, ses différentes formes, les facteurs relatifs à son développement et ses conséquences. Définition La délinquance est l'ensemble d’infractions commises par des mineurs qu’il s’agisse d’un crime, d’un délit ou d’une contravention. Formes de la délinquance Les délinquants commettent des méfaits:vols (à la tire, par effraction), attaques à main armée, et même, au pire, crime ou meurtre, destructions, incendies volontaires, vols de voitures…). Causes de la délinquance On peut distinguer toutes sortes de causes que nous rangerons en trois catégories:sociales, familiales, psychologiques. 1-Sociales: -les guerres, donc la violence -Le logement:le surpeuplement dans les villes:bidonvilles, quartiers pauvres,d’où une promiscuité fâcheuse,source de tension nerveuse,de conflits familiaux ou de voisinage. -Le matérialisme de l’époque actuelle:le besoin et le désir croissant d’avoir de l’argent,de posséder. -Les loisirs:beaucoup plus nombreux qu’autrefois,qu’on ne sait pas occuper;on se livre au « farniente »,à l’imitation des vedettes des faits divers au lieu de se cultiver et de pratiquer le sport. 2-Familiales:
-Carence intellectuelle et souvent morale des familles, d’où faiblesse ou libéralisme excessif. -Désunion, mésentente ou remariage,d’où parfois mauvais traitements ou simplement indifférence. -Libéralités ou avarice des parents pour l’argent de poche. -Alcoolisme, drogue. Les jeunes deviennent alors des«révoltés». 3-Psychologiques: -Solitude, «vide social»dans les grands ensembles. -Désœuvrement, chômage. -Cinéma, presse, télévision, mille exemples de«durs», de «truands» qui passent pour des héros. Scènes de violence. Conséquences de ce phénomène La multiplication du nombre des délinquants crée un climat d’insécurité dans le pays. Ils deviennent des«voyous», fichés par la police pour toute la vie. Ils font de la prison ou sont enfermés dans des maisons de redressement ou de rééducation. Plus encore, ces délinquants contribuent à la propagation de nombreux fléaux sociaux comme le trafic de stupéfiants,la prostitution,le commerce des boissons alcooliques... Répression et prévention La répression et la condamnation sont utiles et même nécessaires à certains délinquants. Mais peut-on en faire les seuls remèdes? « Il vaut mieux prévenir que guérir». La prévention, c’est essayer au maximum d’éviter les causes de la délinquance.
Sur un point, pédagogues et criminologues sont d’accord : pour des actes bénins ou de gravité moyenne, le durcissement des sanctions et l’enfermement ont un effet dissuasif nul. La prévention et le dépistage précoce de telles tendances criminelles sont les mesures les plus importantes pour endiguer la délinquance juvénile. | |
| | | abdelhalim berri المدير العام
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| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:32 | |
| SUJET 2 : Exposé : Le conflit des générationsDéfinition du terme conflit Un conflit est une relation d'opposition entre deux ou plusieurs acteurs, dont l'un tend à dominer le champ sur lequel il se rencontre avec l autre. Le conflit n'apparaît que si la notion de pouvoir est introduite. Il est entre la rupture et la tension. Pour que ce forme un conflit, il faut qu'il existe une forte interdépendance entre les adversaires, qu'ils ne soient pas seulement des compétiteurs, des rivaux (adversaires), mais qu'ils aient en communs certains objectifs fondamentaux. Le conflit naît d’une vision très personnelle que nous avons d’une situation et pour laquelle nous avons des difficultés à nous mettre a la place de l’autre.De cette manière nous ne pouvons pas envisager l’autre réalité, celle de l’autre personne.Définition du terme génération La génération est un groupe particulier dont les membres partagent une proximité en age et ont traversé, à des étapes déterminantes de leur développement des événements de vie semblables. Alors pour caractériser les générations il faut identifier leurs expériences particulières ainsi que les événements et cadres sociaux auxquels ils référent. Alors notre thème concerne en premier lieu les conflits qu'ils peuvent être entre les générations. C’est ce qu’on appelle conflit de génération. Que veut dire conflit des générations ?Un conflit de génération est un conflit d'âge Certain parents ont la chance d’avoir des enfants avec qui ils s’entendent bien et peuvent discuter des choses importantes et délicates. Mais beaucoup d’autre éprouvent d’énorme difficultés à s’entendre avec leurs enfants. Ce manque de communication est appelé conflit de génération ou conflit des âges.Les jeunes se trouvent dans une dépendance essentielle des parents sur le plan matériel. Les yeux rêveurs des jeunes aspirent a une indépendance totale en ce qui concerne l’argent, pourtant leurs rêves ne correspondent pas à la réalité. Les désirs des jeunes d’aujourd’hui riment avec un portable de nouveau modèle, un ordinateur, de l’argent de poche-pour aller aux différents clubs, aux discothèques, etc., et souvent ces désirs peuvent atteindre le paroxysme dans la dépense d’argent. Aussi, tous les parents n’ont pas la possibilité d’y faire face totalement. Et c’est ici qu’apparaissent de telles questions comme : « Pourquoi tout est permis à mon copain et pas à moi ? » ou « Je veux un portable comme celui de mon ami ». Et de cette manière, si la situation financière n’est pas si bonne, les conflits dans de telles situations sont inévitables.Dans les relations parents-enfants, il y a aussi d’autres raisons pour des disputes. Et c’est le contraste des opinions qui est la cause principale. Les jeunes de nos jours se mettent en contradiction avec leur parents, concernant les études, leur futur métier, les questions d’amour ou simplement le choix d’amis. Ils ne sont pas comme autrefois : modestes, compréhensifs, obéissants, etc. Les défauts qui définissent le mieux les ados d’aujourd’hui ce sont : l’individualisme, l’égoïsme, l’impulsivité et l’entêtement. Et ainsi, ils n’aiment point céder devant les adultes, même s’ils n’ont pas raison.De cette manière on peut parler jusqu’à l’infini des mésententes qui sont présentes dans les relations enfants-parents. Pourtant, je trouve que les générations doivent faire des efforts, des compromis pour arriver à un accord mutuel. Les parents devront s’intéresser plus à la vie de leurs enfants et essayer de les comprendre. Les jeunes à leur tour doivent respecter leurs parents, respecter leurs opinions, suivre leurs conseils, etc.Car à quoi servent ces luttes enfiévrées entre les générations, quand on peut vivre en paix et en bonne entente. D’après moi, c’est à nous de changer les choses dans nos relations avec les parents, de les améliorer. Alors, ne laissons pas le temps nous glisser entre les doigts, pour que les remords et les regrets ne dominent pas notre conscience plus tard !Nos parents ont choisi et on voulu nous mettre au monde, ils nous ont bercé de leur amour et leur tendresse, nous ont donné le meilleur d'eux même pour que nous ne manquions de rien, ils se pliaient à nos plus tordus caprices pour nous voler un sourire ou un bisou.Au fil des années, les petits bouts de choux grandissent, apprennent de la maison et de la rue et des autres la personnalité de chacun commence alors à se forger, à prendre forme, on retrouvera alors des jeunes adolescents surexcités, d'autres qui choisiront le silence et la solitude, et d'autres et d'autres... Ces jeunes auront beau vouloir se montrer forts et se résigner à s'imposer, les parents auront toujours leurs mots à dire, ils en ont le droit, c'est à cette période là où un enfant a besoin de conseils, a besoin de se sentir épaulé et soutenu, quelle dure épreuve pour les parents.Nos parents ont dû beaucoup souffrir pour faire grandir, et c'est en grande partie grâce à eux que nous sommes nous ce que l'on est aujourd'hui, tant de sacrifices pour voir leurs enfants réussir, avoir une vie meilleure que la leur, leur éviter tout problème ou soucis.Alors un grand merci à ces êtres exceptionnels, un merci dit avec le cœur, un merci qui ne se dit pas une fois ou deux, mais chaque jour, à chaque instant Par un mot, un câlin, un cadeau, mais beaucoup de respect, de respect et encore du respect. | |
| | | abdelhalim berri المدير العام
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| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:34 | |
| SUJET 3 : L'amitié C’est quoi l’amitié??????? Un(e) ami(e) c’est une personne pour laquelle on a de l’amitié, de l’affection, ou avec laquelle on a les mêmes objectifs et la même vision du monde. L’amitié c’est deux personnes qui se sont choisies et il y a des échanges entre elles (aide matérielle, confidences, respect mutuel, support, entraide, complicité).L’importance de l’amitié
[b]Avoir des amis c’est très précieux! Tes amis t’acceptent pour qui tu es et t’aident lorsque tu en as besoin. Ils t’apprennent beaucoup de choses. Ils respectent tes opinions et tes préoccupations. Lorsque tu es avec tes amis, tu te sens à l’aise et apprécié. Entre amis, on se communique nos idées et nos sentiments. Et quand ça va mal ou quand tu as besoin d’aide, tes vrais amis sont là pour t’aider. Quelques conseils pour te faire des amis et les garder 1) Commence par toi-même Sois d’abord ton propre ami. Apprends à te connaître et découvre ce qui te rend heureux. Si tu es bien avec toi-même, les autres apprécieront plus passer du temps avec toi!2) Fais des activités Implique-toi dans des activités. Les amitiés se créent souvent entre les personnes qui partagent les mêmes goûts et font les mêmes activités. L’amitié est basée sur des valeurs et des intérêts partagés.3) Fais les premiers pas Parfois c’est gênant d’aller vers une nouvelle personne! Mais cela peut valoir la peine, peut-être que cette personne deviendra ta nouvelle amie. Approche une personne avec qui tu aimerais être ami et parle-lui d’une activité ou d’un sujet que vous aimez tous les deux. Après quelques fois, tu te sentiras plus à l’aise avec cette personne. Tout le monde a la capacité de se faire des amis même si cela n’est pas toujours facile!
CITATIONS
"Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis. Si le ciel se couvre de nuages, tu seras seul".
"L'amitié est un mariage des âmes"
Le plus grand effort de l'amitié n'est pas de montrer nos défauts à un ami, c'est de lui faire voir les siens.
L'idéal de l'amitié c'est de se sentir un et de rester deux.
La confiance est le premier lien de l'amitié. | |
| | | abdelhalim berri المدير العام
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| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:37 | |
| SUJET 4 : Les causes de la corruption dans les pays en développement La corruption est répandue dans les pays en développement et en transition, non parce qu'ils sont différents des autres, mais parce que les conditions s'y prêtent. L'appât du gain est extrêmement fort et exacerbé par la pauvreté, d'autant que les traitements des fonctionnaires, déjà faibles, sont en baisse. En outre, les risques en tous genres (maladie, accidents et chômage) sont élevés dans ces pays, souvent dépourvus des nombreux mécanismes d'étalement des risques (assurances et marché du travail bien développé) dont disposent les pays plus riches. Non seulement la motivation est forte, mais les occasions de corruption abondent. Les rentes tirées des monopoles peuvent être fort élevées dans les économies très réglementées et, comme on l'a déjà noté, la corruption engendre une demande de réglementation accrue. De plus, dans les économies en transition, les rentes économiques sont particulièrement importantes en raison du montant des actifs, autrefois publics, jetés en pâture au plus offrant. Le pouvoir discrétionnaire de nombreux fonctionnaires est aussi vaste dans les pays en développement et en transition, cette carence systémique étant exacerbée par une réglementation plutôt vague, en perpétuel changement et mal diffusée. La responsabilisation est en général faible, la concurrence politique et les libertés civiles souvent restreintes. Les lois et les principes moraux dans la conduite des affaires publiques sont peu développés, si tant est qu'ils existent, et les instances juridiques chargées de les faire respecter mal préparées à cette tâche complexe. Les contre-pouvoirs qui fournissent des renseignements sur lesquels se fondent la détection et l'application de la loi – tels les enquêteurs, les comptables et la presse – sont souvent faibles. Pourtant, de solides pouvoirs d'investigation sont indispensables ; comme les deux parties à la corruption en retirent souvent un profit mutuel, ce phénomène peut être extrêmement difficile à déceler. Même si la détection est possible, les sanctions risquent d'être légères lorsque la corruption est systémique – il est difficile de punir sévèrement un individu alors que tant d'autres (y compris souvent les autorités) sont probablement aussi coupables. Et la menace de renvoi de la fonction publique n'a qu'un effet dissuasif limité lorsque les traitements sont faibles. Enfin, certains facteurs propres aux pays, notamment la taille de la population et les richesses naturelles, semblent aussi corrélés de façon positive avec l'omniprésence de la corruption. Causes et conséquences de la corruption au Maroc On dit cyniquement de la corruption qu'elle est, avec la prostitution, le plus vieux métier du monde. Si la prostitution représente une mise en location d'un corps, la corruption est la mise en vente d'une conscience. Dans sa définition la plus simple, la corruption est l'abus d'un pouvoir confié à un agent public en vue d'un gain personnel ou pour le bénéfice d'un groupe auquel il doit allégeance. Cette approche est la mieux adaptée à l'appréhension du phénomène car elle est à la fois, plus flexible que celle qu'opère habituellement le droit pénal qui applique le concept à certains actes malhonnêtes, tel que le sens originaire qui définit la corruption comme toute altération d'un état premier considéré comme pur et idéal. Le mot corruption s'applique ainsi à des actes malhonnêtes, mais il implique un comportement par lequel un agent public s'enrichit de manière impropre en détournant un pouvoir qui lui a été confié. Il convient de distinguer deux catégories de corruption : “ la petite corruption ” ou “ la corruption de survie ” qui est pratiquée par les petits fonctionnaires qui sont mal payés et donc obligés de rançonner la population en vue de survivre, et “ la grande corruption ” ou corruption de profit pratiquée par des agents publics de haut niveau qui prennent des décisions sur des contrats très importants. La corruption existe pratiquement dans tous les pays quel que soit leur niveau de développement économique et social. Aucune administration, aucun régime politique ne peut opposer une résistance totale à la corruption. Celle-ci est un phénomène permanent qui tient à la nature des choses car “ toute société qui fonctionne par la confrontation entre le pouvoir et l'argent génère des faits de corruption ”. Il y a, en général, la chance pour que la corruption se produise lorsque le secteur public se trouve à l'interface du secteur privé et plus spécifiquement là où le décideur public n'est pas soumis à des règles totalement contraignantes. La petite et la grande corruption peuvent ainsi se glisser lorsque le responsable public dispose d'un pouvoir discrétionnaire. Ce dernier est d'autant plus important en matière de passation des marchés publics, d'octroi de permis et licences, de la collecte d'impôts qu'en matière de prestation de services publics. Il y a, en principe, deux situations principales de risque de corruption : celle où les services ou les contrats sont fournis ou attribués conformément à la loi et celle où la transaction est non conforme à la loi. Dans le premier cas, l'agent public reçoit un gain privé pour faire un travail qu'il est dans l'obligation de faire en vertu de la loi. Ce phénomène est qualifié de “ graissage de patte ” parce qu'il permet de façon incontournable de faciliter la procédure. Dans le second cas, l'agent public reçoit un pot-de-vin en échange d'un service que la loi interdit de faire. S'il faudra connaître l'impact délétère de la corruption sur le corps social, il est auparavant nécessaire d'étudier ses causes et ses principales raisons. En étudiant le cas français, Yves Mény, dans ses œuvres, constate qu'il existe en France plusieurs facteurs qui peuvent favoriser le phénomène de corruption.
Il s'agit, en l'occurrence, d'une forte concentration des pouvoirs entre les mains d'un leader ; qu'il soit local ou national, chef du parti ou du gouvernement ; d'une personnalisation excessive du processus décisionnel qui dérive de cette concentration des pouvoirs; d'une substitution de modes de décision contractuels à ceux traditionnels qualifiés d'unilatéraux ; du remplacement du recrutement des décideurs publics sur la base politique au recrutement sur la base méritocratique ; de la faiblesse des contrôles et de la transformation des valeurs dans la société. Concernant le cas marocain, la question paraît être le résultat du jeu de facteurs socioculturels, politico-administratifs et économiques. Les causes socio-culturelles Le milieu social est plutôt favorable à la corruption. Tout d'abord, les membres de la société, pour la plupart analphabètes, sont peu conscients de leurs droits et de leurs obligations, ainsi que de la gratuité des services publics. Ils considèrent souvent comme normal de se concilier les faveurs des agents du pouvoir par des présents dons et offrandes. Dès lors, un poste de responsabilité dans l'administration constitue pour son détenteur une source d'enrichissement tout à fait légitime. Se faire de l'argent en profitant de son poste et de sa position dans l'administration n'est pas une chose de vraiment condamnable. La question du pourboire, que l'on appelle très simplement “ le café ”, est une pratique à laquelle se livre toute une frange de la population lorsqu'il s'agit d'avoir u droit ou de bénéficier d'un privilège. Ensuite, comme dans la plupart des Etats africains, le sens du bien public demeure chez les Marocains très inférieur à celui de l'intérêt familial, du groupe ou du parti. De plus, s'est développée une conception néo-patrimoniale de l'administration qui s'accommode fort bien du népotisme et de la vénalité et dont on prétend qu'elle est liée à l'environnement culturel du pays. L'agent public se trouve enserré dans un réseau complexe de loyauté, de fidélité et de dévouement qui l'expose à la tentation de tordre ou de contourner les règles et d'exploiter sa position pour des fins personnelles ou familiales. Par ailleurs, la corruption est aussi à la base d'un comportement schizophrénique qui caractérise plusieurs milieux de notre société où l'auteur et la victime coexistent dans la même personne. Autrement dit, le dénonciateur de la corruption peut être en même temps l'un de ses supports ou de ses agents actifs ou passifs. Cette absence de principes peut être attribuée essentiellement à la banalisation du phénomène. En effet, pour beaucoup, la corruption apparaît comme ancienne, en quelque sorte ordinaire et par conséquent, un phénomène qu'on est près à excuser facilement. Il existe ainsi un abîme, un paradoxe apparent entre l'indignation de plus en plus grandissante contre les profiteurs de la corruption et l'existence même de celle-ci qui continue à être perçue de façon consciente comme inévitable par ceux-là mêmes qui en souffrent ou la condamnent. Dès lors, il s'est développé un type de sentiment selon lequel la corruption relève de l'ordre social et toute tentative pour l'éliminer ou l‘éradiquer est une utopie voire une diversion isolée et sans lendemain. A cette croyance, s'ajoute par ailleurs, un milieu économique favorable à la corruption. (I-Un milieu économique favorable) | |
| | | abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
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| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:40 | |
| SUJET 5 : Pour ou contre le divorce? + les conséquences du divorce: chez qui allez vous vivre? est-ce que vos parents vont être jaloux (par exemple que la mère ait l'enfant est-ce que le père va être jaloux?C'est nul, ça fait du mal Charlotte France
Moi, je suis pour et contre le divorce. Je suis très contre le divorce quand ils ont des enfants, car leur vie est le plus souvent bousculée. Si l'enfant reste chez la mère, il peut y avoir un manque, celui d'un père, d'avoir une famille. Et si le père ne voit son enfant pas tous les jours, il peut aussi quand il le voit, ne pas mettre toutes les limites de peur que son enfant ne veuille plus le voir, et c'est une réaction que je comprends. Mais il ne faut pas non plus les obliger à rester ensemble, car on n'a qu'une vie et il faut la vivre selon ses envies.
Je suis pour le divorce car je pense que si les personnes ne divorcent pas et qu'elles ont des enfants cela peut faire beaucoup de mal aux enfants et même si le divorce leur fait du mal c'est souvent la meilleure solution pour les protéger. Mais je pense que les persones doivent réfléchir davantage à se marier. Voilà, bisous!!!! Coralie, France
Je suis contre le divorce car un enfant est habitué à avoir ses deux parents chez lui. Moi, je suis très attachée à mes parents et je ne pourrai pas supporter un telle situation. De plus, si deux personnes s'aiment c'est pour la vie et ils se sont engagés. Mais de l'autre côté le divorce est bien pour le développement d'un petit car voir ses parents se disputer sans cesse ce n'est pas bien Julie 15 ans
Je suis contre le divorce. Je pense que quand deux personnes décident qu'ils veulent se marier c'est une perpétration pour toute la vie. Avant le mariage on doit savoir que c'est très sérieux et on ne peut pas s'abandonner. Il y aura les difficultés quelquefois mais il faut travailler ensemble toujours. Une très grande raison pour ne pas divorcer est les enfants. Le divorce est très difficile pour les enfants à tous les âges. Karen, 17, Etats-Unis
Je suis à 100/100 pour la liberté des personnes et de ce qu'ils désirent pour leurs bonheurs. Si l'homme n'est qu'un animal lié par un papier, alors refusons le divorce. Le mariage par papier n'a aucun sens par rapport à ce que représente le mariage dans la grandeur de son mot. Le mariage administratif, c'est pour une gestion et pour le fric, et rien de plus. Mais le mariage administratif font de nous des vrais animaux en cache. Après 50 ans de mariage, tu as déjà gagné le concours. Si on considère que le mariage c'est comme la plupart qui s'exprime ici, alors, ça veut dire que l'on peut se marier avec presque n'importe qui. On pourrait même imaginer qu'à la naissance la commune pourrait déjà vous choisir votre mari ou votre femme. Pas oublier, animal dès la naissance avec une telle conception. Avec une telle conception, le mot amour ne vaut plus rien, car nous sommes que des animaux. (Bien que les animaux ! ! ! !) Puis, en suivant toujours l'idée de ce que beaucoup disent, les enfants devraient être responsables des parents, ainsi que leurs bonheurs. Au lieu que ce soit le bonheur des parents qui soit transmis envers les enfants, ce serait aux enfants de faire le bonheur des parents. Exactement à l'envers de ce que représente le mot amour, et ainsi les raisons pour lesquels, les enfants devraient naître. Le vrai problème vient de notre société, qui sont contre le divorce, en favorisant l'amitié forcée à la place de l'amour. En tout cas, lorsque deux personnes vivent ensemble parce qu'elles sont liés par un contrat, ça vaut moins qu'un animal. L'amour ne se construit pas, même si deux amis prétendent pouvoir le faire comme la majorité des personnes en se mariant. A partir du moment où ce sont les enfants qui forment le couple, on peut dire danger, non-respect de l'enfant. Malheureusement pour ces enfants, ils ne pourront pas savoir ce que veut dire être heureux, et à leur tour, ils feront comme leurs parents. L'amour, c'est ce qu'il y a de plus grand au monde. Claude
Je suis pour le divorce mais quand tout a été tenté avant pour l'éviter. Je conçois totalement qu'après quelques années de vie commune, deux personnes ne s'aiment plus ; il devient donc alors très dur de vivre ensemble. Même lorsqu'il y a des enfants, il est beaucoup plus supportable pour eux de voir leurs parents être de nouveau heureux séparément plutôt que de les voir se déchirer ensemble. En tous cas, le divorce doit se faire doucement, sérieusement et équitablement. Christel, France (Paris)
En pesant le pour et le contre , tout le monde devrait arriver à plaider pour le divorce. C'est vrai que c'est malheureux de divorcer, c'est un échec..... Mais quand ça ne va plus, ça ne va plus. On ne doit pas divorcer pour le plaisir, évidemment mais je pense que divorcer est un acte purement réfléchi depuis longtemps....Et puis "errare humanum est" pour ceux ne comprenant pas "l'erreur est humaine".....
Carole, Belgique
Bonjour moi je suis pour le divorce parce que quand deux personnes se marient, et après quelques années ils ne sentent plus rien, c'est une décision délicate bien quand on a des enfants papa et maman se divorcent c'est malheureux pour eux.
Si il n'y avait pas de divorces les meurtres ne seraient pas loin! Les femmes battues se vengeraient même si il faut aller en prison après ou se faire tuer aussi. Qu'importe, vive la libération!
Un divorce c'est horrible mais des fois c'est la meilleure solution pour éviter les assiettes cassées , les parents qui pleurent de ne plus aimer et plein d'autres complications.
Sarah, France
Ben moi je suis contre le divorce parce que ça complique la vie et rend tout le monde malheureux. Mieux vaux vivre marié avec quelqu'un qu'on aime, une belle petite famille, en n'allant pas voir ailleurs (adultère) et là, si chaque membre de la famille fait des efforts, alors tout marche comme sur des roulettes et tout le monde est heureux!!! (bien sûr, c'est facile à dire!!!) Adeline, Kauvai (Hawaï)
J'espère ne jamais vivre un divorce. Dans certains couples, quand l'amour n'est plus présent la dernière solution il est vrai est le divorce. Mais, toute ces familles brisées je trouve cela horrible. Je pense qu'un enfant pour se construire à besoin de son père et de sa mère. Et puis quand on prend l'engagement de se marier, c'est pour la vie. On dirait qu'à notre époque les gens ont besoin de changement, ne supporte plus de passer leur vie avec la même personne. Quand ça ne va pas on divorce : la solution de facilité.
Quand on ne s'aime plus, malheureusement, il n'y a que ça à faire! Mais alors pourquoi les gens se marient? Réfléchissez! Moi, je ne me marierai qu'une fois. Et ce sera avec l'homme de ma vie. Mikhaela. Nice
Je pense que le mariage est un lien pour rapprocher les 2 personnes donc pourquoi pas mais dans certains couples il arrive un jour où cela devient insoutenable et je pense que le divorce est la meilleure solution pour tout le monde donc je suis poour le divorce (et le bonheur)
Le mariage c'est très important, c'est l'union devant Dieu. On se marie si on s'aime VRAIMENT, car ceux qui divorcent c'est parce qu'ils s'aimaient en sachant qu'ils ont le bonus du divorce! Laetitia
Je suis pour, car le mariage est l'union avec Dieu et le grand amour. Même si des fois on est obligé de divorcer à cause de grosses disputes. Mais les enfants, écoutez, si vos parents ont des simples disputes ce n'est rien. Mais si ils ont de fortes disputes et divorcent cela est pour votre bien et pour le leur pour ne plus vivre dans les cris. He oui! Parfois les parents sont compliqués. pour, pour, pour, pour, ... Si on ne s'aime plus, ... pourquoi vivre encore ensemble?
Pour ! Sinon à quoi ça sert de vivre ensemble si vous ne vous entendez plus !? Laurence
Bonjour, L'idée de forum m'a amusée un peu en ce sens où la question pour ou contre le divorce me semble un peu tardive. Il vaut mieux savoir si tu es pour ou contre le mariage. Je dis ça car ce n'est pas parce qu'on se marie qu'on est forcément pour le mariage. Parfois, c'est pour faire comme les autres, on suit une routine. Moi, je suis 2 fois divorcé, c'est tout dire !!! Je suis contre le mariage car il n'apporte qu'un phénomène d'appartenance (plus souvent chez l'homme d'ailleurs) et engendre la jalousie, le train-train, la routine, bref, une fois marié, le couple semble ne plus avoir besoin de séduction. Et puis finalement, à la création du monde, Adam et Eve (pour ceux qui y croient) ne sont pas venus comme ça avec des formulaires de mariage. Il n'y avait pas d'avocats non plus, ... et ils sont chers ceux-là ! Maintenant, faut-il divorcer, ce n'est pas à autrui de répondre à cette question mais à toi de prendre tes responsabilités en fonction du contexte (que personne d'autre ne connaît assez pour te conseiller ... surtout que les conseilleurs ne sont pas les payeurs). Il faut peser le pour et le contre de façon réfléchie, et non sur un coup de tête. Il faut aussi voir si tu n'es pas dans une période un peu dépressive, morne, ... ce qui fait qu'il serait alors plus judicieux d'aller consulter un spécialiste qui te remettra sur pieds en évitant un divorce peut être inutile. Tu sais, la santé influe énormément sur les relations et bien souvent on refuse de se voir "malade", car le mot maladie fait peur dans ce domaine. En général, on dit malade = psy voir psychiatre, ... donc folie, etc... Il n'y a rien de plus humain que d'être fatigué, ce qui influe sur le comportement et conduit à una accumulation et à un ras le bol de tout. Je suis allé voir un psy et j'ai réglé mon problème après le divorce. J'aurais pu le faire avant et je crois qu'il n'y aurait pas eu divorce justement. Ceci étant, je n'ai pas la science infuse et ne prétendrais nullement avoir raison dans mon raisonnement, c'est un avis, rien de plus. Bonne chance à toi, Amicalement
Michel
Un couple, qu'on le veuille ou non, n'est pas éternel. Certains peuvent durer très longtemps (5 ans, 10 ans, 20 ans), mais un jour ou l'autre, les cordes s'usent. Une fois que l'on connait par coeur son conjoint (je parle des couples mariés autant que des couples qui vivent en concubinage, le problème est à peu près le même), on finit par vivre dans ses petites habitudes. Soit on s'en contente (et c'est souvent le cas pour les couples qui ont 'duré' très longtemps), soit on s'en lasse, et on peut être amené à une séparation
Etre contre le divorce, donc contre la séparation, reviendrait à dire qu'une fois qu'on s'engage on ne peut plus, on ne doit plus faire machine arrière. L'erreur est pourtant humaine, et en amour plus qu'ailleurs. On peut très bien penser aimer quelqu'un à la folie, et se rendre compte au bout de quelques mois, ou années, que finalement c'était bien, mais qu'on s'est enflammé un peu trop vite. Ce sont des choses qui arrivent. Donc dans ces cas là, on ne se marie jamais, on ne fait jamais d'enfants, et c'est super intéressant la vie... Alors évidemment, un divorce, une séparation, ça fait souffrir. Celui qui est quitté souffre, les enfants, s'il y en a, souffrent, culpabilisent, etc. Mais un enfant qui voit ses parents se disputer, ou même tout simplement s'ennuyer, va-t-il être réellement heureux? Un enfant avec des parents malheureux... quel intérêt ? La vie de famille devient glauque, il y a un malaise ambiant à la maison. Oui évidemment on peut essayer d'en parler, il existe des psychothérapies familiales. Mais quand amour il n'y est plus, c'est bel et bien fini, et cela ne sert à rien de se voiler la face en se disant que de toutes façons on n'est pas si mal lotis. Mes parents ont divorcé quand j'avais 8 ans. Sur le coup j'ai beaucoup souffert, parce que j'ai pensé que mon père m'abandonnait, qu'il ne m'aimait pas, et en plus j'avais l'impression de ne pas connaître ma mère et qu'il me laissait avec une inconnue. Mais ils ont bien géré cette séparation: ils m'ont beaucoup parlé, ils ont gardé des contacts tout à fait corrects (ils ont gardé la relation 'parentale' en fait, c'est à dire que quand ils se posaient des questions à mon sujet, ils en discutaient tous les deux), et aujourd'hui je suis vraiment heureuse de leur divorce. Pourquoi ? Parce qu'aujourd'hui, mon père est heureux, épanoui. Parce que j'ai appris à connaître ma mère, et qu'en plus de ça j'ai mûri un peu plus vite. J'ai appris à réagir. Quand on encaisse une séparation forte quand on est jeune, on n'est pas forcément plus vulnérable après, tout dépend de la façon dont les choses sont abordées par les parents. Bref, je suis pour les divorces bien gérés. Quant aux divorces mal gérés, où chaque parent déblatère sur le dos de l'autre auprès de l'enfant, il prouve simplement un grand manque de maturité, mais divorce ou pas, l'enfant aurait eu des pots cassés à payer de toutes façons. Pour finir, je ne pense pas qu'un enfant puisse être heureux si ses parents ne le sont pas. Si le divorce peut permettre aux parents de retrouver un équilibre, il est nécessaire!
Julia, France
Je suis une étudiante à le KHM, je suis pour le divorce. Quand tu penses que tu as trouvé le vrai amour dans ta vie et tu te maries avec le personne mais après quelques années l'amour a disparu, je trouve que tu ne peux pas rester ensemble pour les yeux de l'autre personne. Se marier est une décision très importante et avant de te marier, tu devras bien penser, bien réfléchir.
Je suis pour quand les parents ne s'entendent plus et que cela devient invivable. Cela devient mieux pour tout le monde après !!!!
Je suis plutôt de l'avis de Mathieu (France)... ça dépend mais je crois que ce n'est pas une solution... parfois!!! C'est sûr ça fait de la peine, ça déçoit.... mais si c'est pour tout régler??? En tout cas faut y penser deux fois avant de commettre l'acte... mais des fois on n'a pas le choix.
Je suis un papa et je suis en train de divorcer. Je suis contre le divorce parce que même quand les enfants sont grands, ils se rassurent à trouver des raisons ou des torts à chacun des 2 parents. Si les enfants sont plus jeunes, ils ne comprennent pas toujours et ont un avis qui dépend de celui ou de celle avec qui ils restent: ils peuvent être influencé. Je suis contre le divorce parce que souvent c'est un peu une solution de facilité: quand c'est cassé, on jette et on veut quelque chose de neuf, comme avec des objets. Le problème du divorce est que les parents, pour des tas de raisons ne savent plus parler entre eux, ne se comprennent plus et c'est souvent pas de leur faute. Pourtant, il existe des gens qui peuvent aider ces parents à ne pas se jeter l'un l'autre en disant que tout est fini: on peut toujours réparer ce qui est cassé: ça demande du temps et du courage et aussi de l'humilité de reconnaitre que les êtres humains ne sont pas infaillibles mais toujours perfectibles: c'est à ce prix qeu le bonheur peut revenir dans une famille et le bonheur est cher !
JF
Je suis pour le divorce même si c'est une épreuve douloureuse pour les adultes et pour leurs enfants mais apr!s le divorce la vie est souvent plus agréable: plus de disputes 24h/24.... et puis les parents peuvent garder un bon contact.
Allo je ne crois pas que ce soit aux enfants de décider ça. C'est la décision des parents et juste d'eux si ils ne s'aiment plus ou se chicanent toujour. C'est mieux pour tous le monde, comme ça alors je crois que les enfants n'ont pas leur mot à dire malgré que c'est triste. Si les parents divorcent c'est qu'ils ont une ou de bonnes raisons. Émilie
Nous sommes deux filles et deux garçons de l'école Jean de La Fontaine et nous pensons tous les quatre que le divorce n'est pas une bonne chose car il peut engendrer de nombreuses perturbations chez l'enfant. Souvent les parents se disputent la garde et donc l'enfant va vivre soit chez le papa, soit chez la maman.Or un môme a besoin autant sa maman que de son papa. Celà peut briser le coeur de l'enfant ainsi que son état psychologique. Ses résultas à l'école diminuent de plus en plus. Gaëlle S., Gaëlle C., Olivier et Nicolas - France
Contre le divorce parce que ça fait trop de peine aux enfants surtout quand ils sont trop petits. Ils ne connaissent pas leurs parents. Anne-Sophie, 10 ans 1/2
Je pense que la divorce est mieux pour les mariés et pour les enfants des mariés parce que quand tu vis avec des parents qui se disputent tout les temps, ce n'est pas joyeux de vivre avec eux. Quand les parents se disputent les enfants écoutent tout et ils vont parvenir à vivre comme les parents qui se disputent tout les temps. Pour les mariés, c'est mieux qu'ils vivent une vie séparée et joyeuse que les mariés se disputent tout les temps et sont malheureux. Quand les mariés ne s'aiment plus c'est mieux de chercher un autre compagnon ou une autre compagne. Si tu veux un(e) autre compagnon(compagne) c'est mieux pour les enfants de vivre dans une maison de l'amitié. Quand il n'y a pas d'enfants c'est encore mieux de faire une divorce que tu peux divorcer avec une famille. Tu vis plus longtemps quand tu es heureux que quand tu es malheureux.
Jeroen B., étudiant Flamand, Belgique
Je suis une étudiante à la KHM, et je suis pour le divorce, parce que quand deux personnes se sont mariées, et après quelques années ils ne sentent plus rien pour l'autre, ou ils ne sont pas amoureux encore ils doivent pouvoir prendre la décision de divorcer. C'est un décision délicate bien sûr, quand ils ont des enfants, mais dans quelques cas c'est mieux pour les enfants que leur maman et papa n'habitent plus ensemble.
Je suis Karen P, j'ai 19 ans et j'habite en Belgique (je suis Néerlandophone) Moi, je suis contre le divorce. Je pense que, une fois que tu as choisi une personne que tu aimes et que tu te maries avec elle, c'est pour toujours. C'est une décision importante et il faut le faire sérieusement. Je pense qu'aujourd'hui, il y trop de couples qui divorcent trop vite. Du moment qu'il y a un problème, on va chez l'avocat pour commencer le divorce. Il vaut mieux parler et essayer de résoudre le problème. Le divorce, c'est trop normal et tout le monde divorce comme si ce n'était rien d'important. Quand on a des enfants, c'est encore plus dur, parce que les enfants souffrent toujours. Surtout quand il y a une dispute sur qui va s'occuper des enfants. Les enfants doivent souvent choisir pour le père ou la mère, ce qui est trop dur, parce qu'ils aiment tous les deux.
Il faut mieux donc d'essayer de résoudre les problèmes avant de divorcer.
Karen, Belgique
Si les parents se battent je suis pour, mais si tout va bien je suis contre!!!
Charlotte, 11 ans, France
Mes parents ont divorcé lorsque j'avais 13 ans. Je ne comprenais pas pourquoi, ni comment. Mais je préfère qu'ils aient divorcé car je ne les ai plus vus se disputer perpétuellement. J'ai eu assez de chance, pour ma garde mes parents m'ont laissé choisir. Mais dans certain cas les parents se battent pour obtenir la garde. Les parents devraient demander davantage l'avis à leurs enfants avant de divorcer. [email=Gabrielle.Beyeler@wanadoo.fr?subject=pour%20Buffy]Buffy[/email], 15 ans.
les deux ........... Sophie
Moi je m'appelle Mathieu et j'ai 14 ans, je viens de l'Oise et je suis pour et contre le divorce : - je suis pour car si les parent souffrent entre et que les enfants sont entre les deux parents, il faut que les parents divorcent - je suis contre pour les parents où ils disent des mots méchants entres eux: "je veux que l'on divorce" c'est juste une petite dispute Mathieu, France
Moi, j'ai des parents divorcés depuis cinq ans. À mon avis, je pense que le divorce est mieux pour la societé et pour tous, mais seulement chez les bourgeois. Je pense ça parce que les femmes sont plus motivées quand elles abandonnent leurs maris. Elles ont plus confiance en elles et elles arrivent à faire plus. Par exemple, ma mère a lancé sa propre affaire qui a beaucoup de succès. De plus, elle m'a envoyée à une école privée où je fais mieux dans mes travaux. Mélanie, UK
Mon je trouve que ce n'est pas bien car les enfants souffriront beaucoup et en plus quand les parents divorcent ils ne pensent pas aux enfants dans ce cas de mariage pas de divorce. Axelle, 11 ans, Tahiti
Moi je pense que l'on ne peut pas être pour ou contre un divorce. Par exemple mes parents ne sont pas divorcés et je ne souhaite pas qu'ils divorcent, car en + ils s'entendent très bien. Mais si des parents s'entendent très mal je suis pour qu'ils divorcent. Voilà!!!!!!!!! Charlotte
Et bien cela dépend du cas des parents. Si ils ont des enfants je suis très contre car les enfants souffriront beaucoup et il faudra qu'ils voyagent pour voir soit le père ou la mère alors là je suis totalement contre ! Et puis quand les parents demandent de divorcer il faut qu'un des parents ait la garde des enfants et les enfants choisissent et ne peuvent rien dire car si ils disent qu'ils veulent leurs mère, ils auront un regret pour leur père et idem pour le père! Sinon s'ils n'ont aucun enfants je suis pour car si ils le souhaitent ils le font. Alexandra, France
Je suis contre car ça fait souffrir les enfants. Et si les parents leur demandent "avec qui tu veux rester?" les enfants ne seront pas quoi répondre. Une mère et un père qui vivent ensemble c'est très important. Frédérique, 10 ans, Montréal
Je suis contre le divorce car les enfants sont les gens qui souffrent. Je pense qu'un mariage est très sacré. Il doit durer pour toute une vie! Il est souvent impossible pour les divorcés de se voir sans se disputer. Quand on se marie, on dit bien "jusqu'à ce que la mort nous sépare", non? Adria, 18 (dix-huit ans), Etats-Unis
Moi je suis contre et pour le divorce car si les parents sont divorcés et les enfants sont malheureux. Les enfants voient moins leur mère ou leur père. Moi je n'aime pas les divorces. Car les parents de mon amie sont divorcés car ils ne s'entendent pas bien alors ils divorcent et mon amie est devenue malheureuse que je n'ai jamais vue comme ça. Alors je suis contre les divorces. Je hais les divorces. Si les parents veulent se marier et puis ils sont divorcés c'est vraiment idiot. Et le souvenir de leur mariage est resté dans la tête et on ne peut pas effacer ce souvenir. C'est le plus beau souvenir de la vie!!!! Mais si ils sont divorcés c'est horrible!!!!! Mais si ils ne s'entendent pas il vaut mieux qu'ils séparent sinon on les entend disputer et crier fort dessus. Lydie, 14 ans
Je suis pour le divorce car si les parents ne s'entendent vraiment plus, il vaut mieux divorcer; c'est mieux que de toujours les entendre se disputer et être triste pour cela. Adrien et Benjamin, France
Le divorce ? À quoi ça sert? Je pense que le divorce est vraiment une chose très idiote de la part des parents, surtout quand ils ont un enfant!!! Les enfants pour qui les parents ne sont pas divorcés disent: "Oh, t'as de la chance, tu auras plus de cadeaux". Les autres enfants ne se rendent pas compte, même les adultes d'ailleurs. Et les enfants dans tout ça, oui, les parents ne pensent pas du tout aux enfants!! Je suis contre le divorce !!! Je ne comprends pas comment des enfants pourraient être pour!!! Élodie
Salut, moi je suis contre le divorce car si l'enfant est tout jeune (4, 5, 6 ans) ça pertube sa vie. Il se demande où est papa ou maman, l'enfant est perdu complètement (soit le père le bat ou la mère). C'était Nancy Nancy, Normandie, France
Allo. Moi je suis pour parce que si deux personnes ne s'aiment plus ou se chicanent tout le temps, ou les deux, c'est mieux pour eux le divorce et ce n'est pas leur faute. Moi, si mes parents divorçaient, c'est sûr que je serais triste mais c'est leur choix. Je ne serais pas fachée vraiment contre eux, mais je ne pense pas que ça arrive un jour. Émilie
Non, le divorce surtout quand on a des enfants, c'est vraiment très idiot! mais stupide! Et en plus il y en a de plus en plus! On dirait une bande qui se forme! Moi, en tout cas je suis contre !
Le divorce est toujours un sujet délicat. On ne peut pas être totalement "pour" ni totalement "contre". Se marier doit être un acte réfléchi, après mûre réflexion, après avoir peser le pour et le contre. C'est de là que ça devrait commencer. Sans mariage, pas de divorce. Divorcer, souvent les deux parties ne sont pas d'accord. Si les deux acceptent le divorce (ce qui n'est pas souvent le cas), ils se disputent pour la garde, la pension. Et même après, il est souvent impossible pour les divorcés de se voir sans se disputer. Les enfants sont perturbés, ont des difficultés à l'école, dans leur relation. Bref, personne ne s'en sort. D'un autre côté, mieux vaut des parent divorcés et bien de leur côté que des parents qui vivent sous le même toit qui se disputent tout le temps. C'est encore plus destructeur. Divorcer doit aussi être un acte réfléchi et non pas pris sous le coup d'une émotion. Sacrifier un couple installé avec des enfants pour vivre une passion amoureuse (qui n'est pas sûre de durer), par exemple, ça vaut vraiment le coup? On doit tout essayer pour sauver un couple mais si c'est la seule solution possible, alors, mieux vaut foncer. Angels, 16 ans.
Et bien, plutôt contre... Je trouve qu'il détruit un peu le mariage dans le sens que beaucoup de gens s'egagent dans le mariage en se disant: "oh, de toute facon, si ça ne marche pas, je pourrais toujours divorcer!" Mais non, dites vous que ca tiendra toute la vie et ça tiendra toute la vie! Quand on se marie, on dit bien "jusqu'à ce que la mort nous sépare", non?
Moi je suis contre le divorce car il y a des problèmes entre les parents. Les conflits qu'il y a après le divorce sont plus compliqués que ceux d'avant et on se dit qu'on préféré les petites disputes. Ils ne peuvent plus se voir et tous les problèmes passent par les enfants. J'ai 12 ans et c'est un vrai bazar entre mes parents. Ils sont séparés depuis 1 an. Je ne sais pas si celui qui lit ça a ses parents divorcé mais si se n'est pas la cas je vous donne ma propre opinion: On a l'impression d'être une peluche qu'on tire des 2 cotés (un coté par sa mère et un autre par son père). En effet, quand on est avec son père notre mère nous manque et pareil dans l'autre sens. Je ne souhaite ça à personne. Si vous avez lu ça pour trouver un conseil parce que vos parents sont sur le point de divorcer, le voici: ne faire aucune cachoterie. Il faut aussi regarder le bon coté des chose: s'ils font ça c'est pour notre bien. Bonne chance! Pour. Mes parents s'entendent très bien mais je pense que si on se dispute de trop il vaut mieux. Je suis pour Moi je suis pour car quand les parents ne s'aiment plus, il est difficile pour un enfant de s'épanouir correctement c'est-à-dire que si ses parents se disputent 24h sur 24 l'enfant risquerait d'être malheureux et d'exercé la même violence plus tard. Nina, 14 ans, France J' ai plus de 18 ans, je suis maman de 3 enfants et je suis en train de divorcer... D'ailleurs qu'en est-il des concubins qui se séparent, ils ont le droit car ils ne sont pas mariés, et les enfants n'ont pas de problèmes? Quand j'avais votre âge je pensais aussi que quand on se marie c'est un engagement et c'est pour la vie. Comme vous j'avais baigné dans les contes pour enfants, la jeune fille rencontre le Prince charmant, ils tombent fous amoureux et là l'histoire se termine par "il vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Seulement le mariage n'est pas une fin mais un commencement. Et ces contes de fées ils ne vous montrent pas comme c'est difficile d'élever des enfants, et tout simplement parfois de survivre. D'ailleurs à cette époque les Princes et les princesses n'élevaient pas leurs enfants eux-mêmes ils avaient toute une troupe de serviteurs pour ça. Avant de me marier j'ai parlé avec mon futur mari des enfants de l'éducation, on semblait d'accord, seulement tout ça c'est de la théorie parce que tant qu'on a pas un enfant vraiment on se sait pas ce que c'est, et les paroles sont souvent très loin des actes. Personne ne sait ce que la vie nous réserve, qui sait si le jour où il va vouloir un enfant cet enfant va arriver, qui sait comment il réagira si cet enfant est handicapé, qui sait comment il vivra le chomage, la maladie si elle se présente... Et le cas contraire, comment réagirez-vous à un "accident", il y a la pilule alors forcément si accident il y a c'est de la faute de la femme, pourtant cet acte il se fait à deux et il y a aussi des moyens de contraception pour l'homme, et des femmes que la pilule rend malades, il y en a plus qu'on ne croit... Seulement c'est une croyance de notre société, l'homme ne prenant aucun risque, ce n'est pas son corps, il peut se défiler de ses responsabilités... Avant de prendre la décision de divorcer je pense avoir tout essayé, la thérapie de couple, la thérapie pour moi... rien n'a changé. Je suis restée beaucoup trop longtemps pour mes enfants justement. Personnellement je ne veux pas que mes fils pensent que c'est normal d'insulter sa femme, que c'est normal de la tromper, que c'est normal de controler sa vie, je ne veux pas que ma fille pense que c'est normal de se faire traiter ainsi. Si les parents sont malheureux les enfants le sont aussi. Le mariage est un engagement pour les deux, il doit être respecté par les deux. Dans mon cas mon mari semble avoir un problème psychologique qui fait que tout allait bien avant les enfants et que le premier enfant à tout cassé. Comment s'en apercevoir avant, je n'ai pas vraiment de solution, mais je pense vraiment que si mes enfants ne voient plus ces comportements, ils ne les reproduiront pas, car mes beaux-parents n'ont jamais divorcé pourtant il suffit de 5 minutes autour d'eux pour comprendre qu'ils se détestent. Plus vous, enfants, adolescents apprenez que l'amour ce n'est pas une relation de pouvoir mais une coopération, qu'il y a des choses qui sont inacceptables et que donc on ne fait pas, que tout être humain est unique et ne réagit pas comme son voisin et que seule une communication sans jugement peut maintenir la paix et l'équilibre, moins il y aura de divorces. Ne jamais faire quelque chose qui est vraiment contre sa nature pour faire plaisir et par amour, si dans votre tête vous pensez non, vous le dites gentiment, et si la personne en face ne comprend pas c'est qu'il vaut mieux passer son chemin. Oui le divorce c'est difficile pour les enfants, mais j'en connais qui m'ont dit qu'ils ont été soulagés par le divorce de leurs parents. Et là encore c'est une question de maturité, de responsabilité et de communication car 37% des enfants issuent de séparations ont des problèmes. Les enfants ont besoin de deux parents qui les aiment, savoir les guider à travers les tempêtes fait partie de la responsabilité des parents, et tout le monde peut en ressortir plus fort. Cécile (USA) | |
| | | abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
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| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:41 | |
| Comment réussir un exposé « à la française » ? par Michèle Debrenne
- 1. Ce qu’il ne faut pas faire, ce qu’on attend de vous
- 2. Le plan
- a. Un plan ? Pour quoi faire
- b. les types de plan
- c. la mise en évidence du plan
3. l’introduction 4. la conclusion 1. Ce qu’il ne faut pas faire, ce qu’on attend de vousIl ne faut pasIl faut écrire le texte de son exposé et le lire | écrire le plan de l’exposé, éventuellement l’introduction et la conclusion, utiliser ses notes pour faire l’exposé | regarder fixement son papier | parler en s’adressant au jury, en le regardant | parler d’une voix monocorde | moduler l’intonation, être convainquant | rester immobile | utiliser ses mains pour souligner ses paroles, montrer un schéma, dessiner une courbe au tableau ou sur un papier | ne pas observer le jury | remarquer les réactions du jury, en tenir compte (répéter quelque chose d’incompris, poser une question) | déballer tout ce qu’on a à dire d’un bloc | structurer l’exposé, annoncer la structure, souligner les passages d’une partie à l’autre | faire le compte-rendu des documents (si l’exposé est basé sur plusieurs articles) | utiliser l’information contenue dans les documents, mais parler en son propre nom, présenter sa propre vision du problème | faire un exposé abstrait | illustrer vos paroles d’exemples concrets, que vous connaissez personnellement : pas de banalités, de généralisations, d’approximations | dépasser l’horaire imparti [1] ou, au contraire, ne parler qu’une petite dizaine de minutes | contrôler le temps qui passe (poser votre montre devant vous, pour ne pas avoir à regarder à votre poignet trop souvent), ménager du temps pour la conclusion et le passage à l’entretien |
2. Le plana. Un plan ? Pour quoi faire ?Il ne faudrait pas s’imaginer que tous les français pratiquent aisément ce qu’on exige de vous sous le nom d’exposé "à la française". Il se peut que vous assistiez par hasard à une conférence où les orateurs ne respecteront ni l’horaire, ni un plan strict, ni une logique cartésienne. Cependant en situation d’examen, c’est bien un exposé structuré qu’on attend de vous. Il doit donc impérativement être construit sur un PLAN. Il ne suffit pas d’avoir un plan, il faut encore que le jury puisse le repérer dans vos paroles. En effet, la présence d’un plan aide grandement à la compréhension : même s’il ne comprend pas les détails, votre public (en l’occurrence le jury) est ainsi capable de suivre les idées principales. Il n’a pas la désagréable impression de ne rien comprendre dans ce que vous raconter (or il est très important pour vous de faire BONNE impression) Pour cela, il faut choisir un type de plan reconnaissable faire tout pour que votre public suive votre plan au fur et à mesure de l’exposé. b. les types de planVoici les types de plan généralement conseillés : vous avez intérêt à choisir pour votre exposé un plan simple, mais adapté à la situation. Il est bien évident qu’en plus de ces parties, vous devez impérativement prévoir une introduction et une conclusion (voir plus bas) :
- LE PLAN CHRONOLOGIQUE. Il peut avoir plusieurs formes :
- progressive (autrefois, aujourd’hui, demain)
- régressive (aujourd’hui, passé récent, passé plus ancien)
"dans le désordre" : les parties diffèrent les unes des autres par leur rapport au temps, mais elles ne sont pas présentées dans un ordre chronologique. Ce plan est utilisable à l’écrit (pour un compte-rendu ou une synthèse) il est difficile à faire comprendre à l’oral - je ne le conseille donc pas.
- LE PLAN COMPARATIF. Il est basé sur une opposition :
- avantages - inconvénients (aspects positifs-aspects négatifs, pour-contre)
- situation actuelle - situation passée
- situation en France - situation dans votre pays
- vrai-faux
- Il est indispensable dans la conclusion de mettre en valeur votre point de vue.
- DU GENERAL AU PARTICULIER . Il peut se développer dans les deux sens :
- problème général - problème particulier - analyse d’un exemple concret
- exemple typique - première généralisation - deuxième généralisation
- LE PLAN PAR CATEGORIES
Il s’agit ici d’envisager plusieurs aspects possibles d’un problème (cf. exercices oraux plus haut). Ces aspects ne sont pas forcément "positifs" et "négatifs" (comme dans le plan basé sur une opposition) ils sont simplement "différents".
- LE PLAN DIALECTIQUE
c’est le plan le plus "classique" : thèse- antithèse - synthèse.
- LE PLAN BATI SUR UN RAISONNEMENT (LOGIQUE). C’est un cas particulier du plan précédent :
- présentation de la situation
- exposé des causes de cette situation
- explication des conséquences
- solutions possibles
Vous pouvez bien entendu combiner plusieurs types de plans. Par exemple, le problème suivant, qui pourrait être donné dans une spécialisation "Sciences humaines" : "Les langues minoritaires sont-elles appelées à disparaître ?" pourrait être traité suivant le plan suivant, basé sur une opposition :
- 1. situation en France
- 2. situation en Russie
dans lequel chaque partie peut être développée selon un plan chronologique :
- 1. situation en France
- A. Au XIX siècle
- B. avant la 1ère guerre mondiale
- C. entre les deux guerres
- D. époque actuelle
2. situation en Russie A. avant la Révolution d’octobre B. de la Révolution à la 2ème guerre mondiale C. époque actuelle
ou un plan logique
- 1. Situation en France
- A : causes
- B : conséquences
- C : solutions proposées
2. Situation en Russie A : causes B : conséquences C : solutions proposées
Bien évidemment, vous choisirez le plan qui convient à ce que vous avez à dire (si vous ne savez rien de l’histoire de la question, ne choisissez pas un plan chronologique !)
- exercez-vous à choisir un type de plan pour les sujets suivants :
Selon le projet de réforme de l’enseignement en Russie, les études seront sanctionnées par un diplôme commun passé sous forme de test qui servira à la fois d’examen d’entrée dans les Universités. Selon vous, cette réforme contribuera-t-elle à l’amélioration du niveau des études ?
- Le service militaire alternatif - une solution pour la Russie ?
- Les catastrophes naturelles dans le monde et la nécessité de créer une organisation internationale de sauvetage.
- Ce qu’il faudrait en Russie, c’est une présidente de la République.
- L’industrie touristique peut contribuer à développer les régions en difficultés, comme l’Altaï.
- Il faut interdire de fumer dans tous les lieux publics.
Vous pouvez également établir des plans pour les sujets proposés plus bas dans la partie intitulée "la pratique de l’exposé". c. la mise en évidence du planComme nous l’avons souligné plus haut, il ne suffit pas d’avoir un plan pour faire un bon exposé. Vous devez faire en sorte que votre "auditoire" remarque votre plan, le reconnaisse, qu’il soit capable de le suivre au fur et à mesure. Dans ce but vous devez absolument respecter deux règles : REGLE N°1 : ANNONCER LE PLAN AU DEBUT DE L’EXPOSE. Cela peut vous paraître fastidieux, inutile et artificiel, tout comme, du reste, toutes les recommandations qui suivront. Je vous conseille d’accepter néanmoins ces règles du jeu, qui vous serviront certainement pour l’exposé au DALF, et qui pourront par ailleurs être utiles dans toute autre situation où vous aurez à prendre la parole en public. Pour une meilleure compréhension mutuelle, il est hautement recommandé d’annoncer le plan de votre exposé avant de commencer. En général, cette annonce se fait à la fin de l’introduction. Il est d’usage, dans ce genre d’annonce, d’utiliser le FUTUR. Si vous êtes debout au tableau, vous pouvez écrire votre plan au tableau. Si vous êtes assis, vous pouvez écrire votre plan sur une feuille de papier que vous tendez ensuite au jury. Vous pouvez aussi, pendant la préparation, préparer un exemplaire du plan pour le jury (l’autre exemplaire vous servira de guide pendant l’exposé) Bien entendu, ce plan sera un plan-idées, c’est à dire que vous devez commenter chacune des subdivisions de ce plan en présentant les idées principales qui seront développées dans chaque partie. Prenons par exemple le sujet suivant : "La Russie doit-elle accepter de stocker et traiter les déchets nucléaires des pays industrialisés ?"Vous avez prévu de traiter ce sujet avec le plan suivant (plan basé sur une opposition) :
- les avantages
- les inconvénients
- conclusion
Le schéma ci-dessus peut donner, pour notre exposé, le plan-idée suivant :
- 1. les avantages du stockage des déchets nucléaires en Russie
- profit
- matière première gratuite
- relations améliorées avec l’Occident
2. Les inconvénients du stockage dangers pendant le transport conditions de stockage inadaptées danger écologique à long terme conclusion - opinion personnelle, solution envisageable
Comment allez-vous annoncer ce plan à votre jury ? "En première partie, j’aborderai les avantages que la Russie tirerait du stockage des déchets nucléaires sur son territoire. Je mentionnerai les profits possibles, la présence de matière première bon marché, l’amélioration des relations avec l’Occident. En deuxième partie, je parlerai des inconvénients liés à une telle pratique : les dangers que présente le transport, les conditions de stockage inadaptées, les risques de catastrophe écologique. En conclusion je vous ferai savoir mon opinion personnelle sur ce sujet et les solutions qui me semblent optimales. Passons, si vous le voulez bien, à la première partie de mon exposé..."Notez les formules qui vous seront utiles pour exposer votre plan : - je parlerai / traiterai de, je présenterai, je développerai, je m’étendrai sur
dans un premier temps, j’exposerai...
ensuite, dans un deuxième temps...
pour conclure / en conclusion / pour finir je dirai quePour souligner qu’on ne traitera pas un problème particulier - je passerai rapidement sur, je n’insisterai pas sur, REGLE N°2 : SOULIGNER LES PASSAGES D’UNE ETAPE A L’AUTRE DE L’EXPOSE. Pour permettre à votre public de bien vous suivre, vous devez respecter un certain nombre de conventions. Tout d’abord, bien évidemment, vous devez soigner votre prononciation et votre intonation. Mais cela n’est pas tout. N’oubliez pas que l’exposé est un "acte du discours", un acte de communication entre vous et votre auditeur. Pour que cet acte soit réussi et qu’il atteigne son but, vous devez utiliser une "métalangue", des outils qui vous permettent de commenter votre propre exposé. Elle comporte :
- des formules :
Permettez-moi de vous présenter... Passons [2] , si vous le voulez bien /si vous n’avez pas d’objection Abordons maintenant l’aspect.../ je passe maintenant à l’étude de... Venons en à, en ce qui concerne..., pour ce qui est de... , quant à..., il reste à parler de ... Remarquons que.../ Remarquez que..., prenons l’exemple de...., ainsi..., je donnerai un exemple pour illustrer ce point, examinons le cas / l’exemple suivant Notons que.../ notez que... Je tiens à rappeler que... J’attire votre attention sur le fait que...
- un certain vocabulaire :
une introduction, une première / seconde / troisième partie un exemple / un cas typique / un cas particulier / un contre-exemple (un exemple du contraire) un avantage, un inconvénient, un argument en faveur, une objection, une preuve. N’hésitez pas à souligner au cours de l’exposé que vous avez terminé une partie et que vous passez maintenant à la suivante : "Après avoir envisagé les causes de la disparition progressive des langues minoritaires en France, examinons maintenant, dans une DEUXIEME PARTIE, les conséquences de cet état de fait..." Les majuscules indiquant ici que vous montez le ton pour être sûr que votre interlocuteur entende. Cela permet à l’auditeur de s’y retrouver dans votre développement logique, surtout si vous lui avez présenté le plan à l’avance : il se sentira valorisé d’avoir réussi à vous suivre et n’aura pas le désagréable sentiment de ne pas savoir où vous voulez en venir, pour combien de temps vous en avez encore à le mener dans les méandres de vos explications.
- des articulateurs ;
Observez attentivement les articulateurs proposés ci-dessous, vérifiez que vous en connaissez la traduction exacte et les règles d’utilisation.
d’abord | ensuite | enfin | tout d’abord | puis | finalement | en premier lieu | en second lieu | en dernier lieu | au premier abord |
|
| de prime abord |
|
| avant tout |
| en fin de compte | premièrement | deuxièmement |
| non seulement | mais encore, mais aussi [3] |
| pour commencer | de plus, en outre, de surcroît, encore, aussi | pour terminer | au début |
|
| verbe commencer | verbe ajouter | verbe terminer |
- Pour ajouter quelque chose : de plus, de même, par ailleurs, en outre, d’une part / d’autre part, également.
- Pour souligner une opposition (avec nuance de concession) : mais, cependant, toutefois, pourtant, néanmoins, malgré tout, il n’en reste pas moins que, il n’empêche que.
- Pour introduire une opposition (plus forte, plus contrastée) : en
revanche, au contraire, par contre, par ailleurs, d’une part / d’autre part, d’un côté / de l’autre. Malgré, en dépit de , à l’inverse, à la différence de , à l’opposé, par opposition.
- Pour introduire l’idée d’un obstacle : Certes, sans doute, effectivement, j’admets que, je reconnais que, je vous concède/accorde que
- Pour introduire une nouvelle idée, liée aux idées précédentes (idée de restriction avant une conclusion) : or.
- Pour introduire une restriction à la fin d’un raisonnement : encore que.
- Pour donner une explication ; c’est à dire, autrement dit, cela veut dire, ce qui signifie que...
- Pour souligner la cause : car, en effet, c’est que à cause de, en raison de, sous l’effet de, grâce à , vu, attendu, étant donné, à défaut de, faute de.
- Pour faire une conclusion, une déduction : en
conséquence, par conséquent, donc, c’est pourquoi, aussi (sujet et verbe inversés), ainsi, pour cette raison, pour ce motif ; d’où, alors, pour conclure, en conclusion, finalement, en fin de compte, en somme, en résumé, en bref. en somme, pour me résumer, pour tout dire, l’essentiel est de voir que, ce qu’il faut retenir, c’est.
- une syntaxe :
comme nous l’avons indiqué, quand vous présentez votre plan, vous parlez au FUTUR (votre exposé n’est pas encore fait), au cours de l’exposé, vous parlez au PRESENT (ou à l’Impératif : passons, abordons..), dans la partie de la conclusion qui reprend la structure de votre exposé, vous parlez au PASSE ( nous avons survolé les divers aspects de..., comme nous avons pu le constater).
- des formules de politesse :
n’oubliez jamais que vous parlez à quelqu’un. Outre le traditionnel "bonjour", vous devez utiliser dans l’exposé des formules qui montrent que vous vous adressez réellement à une personne et non pas aux murs : permettez moi de vous présenter je propose à votre attention... si vous n’avez pas d’objection si vous le voulez bien je suis prêt/prête à répondre à vos questions je vous remercie de votre attention.
- Exercez-vous à présenter au public les plans que vous avez établis pour le paragraphe précédent "les types de plans".
Nous vous recommandons instamment d’utiliser les formules indiquées et de vous habituer à les manier, pour qu’elles vous deviennent familières. Pour cela, même si vous travaillez seul, efforcez vous de faire un exposé "dans les formes". Enregistrez-vous (audio ou vidéo), écoutez ensuite votre enregistrement pour en analyser les défauts.
Nous conseillons instamment l’usage aux professeurs l’usage de la vidéo pour corriger les défauts des exposés.
3. l’introductionDans l’introduction, vous devez indiquer les informations suivantes : exposer le problème (éventuellement à l’aide d’un exemple concret) annoncer le plan de l’exposé (voir plus haut, "règle N°1") Vous ne devez pas donner votre opinion personnelle dévoiler ce que vous direz dans la conclusion. La première partie de l’introduction doit comporter une ou deux phrases. Vous pouvez l’écrire pendant la préparation, mais il sera préférable pendant l’exposé de la dire "sans regarder" votre papier. Pour commencer votre exposé, vous pouvez, en principe, poser une question rhétorique. Si vous choisissez cette possibilité, n’oubliez pas de marquer de votre intonation, en vous adressant au jury, qu’il s’agit bien d’une question rhétorique. Si vous ne vous sentez pas sûr de vous, ne prenez pas le risque d’être mal compris. Vous pouvez commencer votre exposé par un exemple caractéristique. Soit le sujet suivant : " Certains préconisent de commencer l’enseignement des langues étrangères à l’école, d’autres, à la maternelle, les troisièmes, à l’Université. Quelle est selon vous la solution la plus efficace ?" Voici quelques variantes d’introduction :
- commencer par le contexte, puis poser le problème :
"Dans le monde actuel, quand les relations internationales, les voyages, Internet ont rapproché les gens et éliminé les frontières, il est indispensable de savoir une ou plusieurs langues étrangères. Mais comment les apprendre ? à quel âge l’apprentissage d’une langue étrangère donne-t-il les meilleurs résultats ? Je parlerai en premier lieu de..."
- commencer par un exemple :
"Je ne mange pas six jours", "cherchez la femme", "l’amour-toujours", "c’est la vie" - pour un bon nombre de nos contemporains, leur connaissance du français - et d’autres langues étrangères - se limite à ces phrases toutes faites. C’est qu’ils n’ont pas eu la chance d’apprendre ces langues étrangères à un âge où ils étaient le plus réceptifs. Dans cet exposé, nous allons nous efforcer de déterminer cet âge optimal. Tout d’abord, je parlerai de...."
- autre variante d’introduction basée sur un exemple :
"Quand j’avais 3 ou 4 ans, on passait à la télévision un dessin animé éducatif anglais, "Muzzy in Wonderland". Mes frères et moi, nous ne rations pas un seul épisode, et au bout de quelques mois, nous étions déjà capables de faire des phrases en anglais. En tout cas, je me souviens encore par cœur d’un bon nombre d’épisodes. L’âge de la maternelle est-il le meilleur pour apprendre les langues étrangères ? C’est ce à quoi nous allons essayer de répondre dans l’exposé suivant. Tout d’abord, je m’efforcerai de présenter.... "
Il est bien évident que si vous vous sentez à l’aise en français, vous n’êtes pas obligé de rédiger le texte de l’introduction. Sur votre papier de préparation, qui va vous servir de guide pendant l’exposé, notez alors simplement l’idée principale ou l’exemple-type que vous développerez dans l’introduction, pour ne pas risquer le trou de mémoire ou le manque d’inspiration. Ainsi, pour les trois introductions présentées, votre guide pourrait avoir l’aspect suivant : 1) Internet / voyages / échanges internationaux / frontières abolies / langues étrangères indispensablesA quel âge commencer ? 2) exemples : "Je ne mange pas six jours" "cherchez la femme" "l’amour-toujours" "c’est la vie" études des langues insuffisantesA quel âge commencer ? 3) exemple : Muzzy in Wonderland A quel âge commencer à apprendre les langues étrangères ?
- Proposez une ou plusieurs introductions possibles aux thèmes d’exposés suivants :
- Certains ont fêté très brillamment le passage à l’an 2000, d’autres, le début du troisième
- Internet bouleverse chaque jour d’avantage les relations entre les hommes.
- Toute vérité n’est pas bonne à dire, dit le proverbe. Commentez cette affirmation.
- Le sida, fléau irrémédiable ?
- Selon vous, peut-on parler d’une disparition ou d’un renouveau des traditions populaires à notre époque ?
- Pour ou contre la peine de mort ?
- La famille aujourd’hui.
Les organisations non gouvernementales telles Greenpeace ou le WWF peuvent-elles lutter efficacement pour la protection de l’environnement ?
- Les clips publicitaires
- Les sectes totalitaires.
4. la conclusionLa conclusion est un élément essentiel de l’exposé, et pourtant c’est celui qui est souvent le moins réussi. Une bonne conclusion sert à : rappeler brièvement le contenu de l’exposé, souligner l’opinion personnelle de l’intervenant, inviter l’auditoire (en l’occurrence les membres du jury) à entamer la discussion. Examinons en détails ces trois aspects : Bref rappel du contenuIl fait le pendant à l’exposé du plan que vous aviez fait à la fin de votre introduction. Il n’est pas nécessaire ici de reprendre en détail toutes les sous-parties de votre plan, mais il faut absolument rappeler la structure globale de votre exposé. Evitez toutefois les formules du type : "comme je l’ai déjà dit". Dites plutôt : - comme nous venons de le voir...
en résumé, je me permettrai de rappeler que...
Ainsi, nous avons constaté que...Comme on peut le voir, cette partie de l’exposé utilise les temps du passé : passé immédiat, passé composé. Il est indispensable de reprendre les résultats, les déductions, les solutions qui ont été proposés dans la dernière partie de l’exposé. Efforcez-vous de reformuler et non pas de répéter mot à mot ce qui vient d’être dit. votre opinion personnelleLa conclusion est l’endroit idéal pour exprimer votre opinion à propos du sujet débattu. En cela, l’épreuve B4 diffère radicalement de la synthèse de documents B3 ou du compte-rendu B1, où il était interdit de présenter son point de vue. L’épreuve du DALF n’est pas une confession ou un interrogatoire de police - vous pouvez, bien entendu, défendre un point de vue qui n’est pas véritablement le vôtre. Cependant, méfiez-vous, prenez garde à ce que vos arguments soient convaincants. Ne contredisez pas dans la conclusion ce que vous avez affirmé dans le développement de l’exposé. C’est probablement sur votre opinion personnelle que portera l’entretien avec le professeur. l’amorce de l’entretienC’est probablement la dernière phrase de l’exposé : il faut absolument que le jury comprenne que vous avez fini. Vous devez donc : soigner votre intonation : la dernière phrase doit être prononcée assez fort, distinctement, la voix se pose et ne laisse plus rien attendre (imaginez un gros point "•" à la fin de votre phrase et surtout pas des points de suspension...), il faut énoncer cette phrase avec assurance. signifiez de votre regard que vous avez fini : même si vous n’avez pas réussi, durant tout l’exposé, à regarder l’examinateur en face, faites l’effort de le regarder au moins pour la dernière phrase. Utilisez des formules du genre : "je vous remercie de votre attention et suis prêt à répondre à toutes vos questions", "Si vous avez des questions, je m’efforcerai d’y répondre" Evitez à tout prix un timide : "j’ai fini" au bout de quelques secondes de silence. Exercez-vous à préparer une conclusion pour les sujets proposés plus haut et pour lesquels vous avez cherché une introduction. (pour cela, il vous faudra imaginer dans les grandes lignes quel aurait été le plan de l’exposé). Même si vous êtes seul, présentez cette conclusion à voix haute, avec l’intonation nécessaire, comme dans une situation d’exposé. Si vous en avez la possibilité, enregistrez-vous et analysez l’enregistrement seul ou en groupe. | |
| | | abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
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| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:42 | |
| SUJET 6 : La relation parents-enfants de nos jours Tout d’abord, le constat est globalement le même quant à la relation parents-enfants dans les sociétés occidentales (et quelque soit la confession) :
les parents sont épuisés, stressés par le rythme de travail et les longs trajets voiture ou transports en commun, les enfants sont débordants d’énergie mais ils s’ennuient, sont peu autonomes et peu responsables et ils manquent franchement de repères ou d’objectifs dans leur petite existence, les parents se plaignent des enfants qui n’écoutent plus, qui n’obéissent plus en ajoutant « ce n’était pas comme ça à notre époque », paradoxalement, les parents gâtent à outrance leur progéniture avec des biens matériels pour compenser un manque d’amour ou rattraper la part d’enfance qu’ils n’ont pas eue, finalement, on se rend bien compte que le matériel ne compense pas l’amour des parents, puisque les enfants en demandent toujours et sont toujours insatisfaits, l’enfant a besoin d’attention, d’amour, de jouer avec ses parents, de découvrir le monde avec ses parents, de partager le train-train quotidien dans le calme et la sérénité. B) Que faire de mon enfant ? Quel avenir lui préparer ?
Tout parent se pose légitiment la question : comment éduquer mon enfant et vers quoi ?
le parent musulman a le souci d’assurer l’éducation de ses enfants, autrement dit être présent, être aux côtés de ses enfants, afin de remplir sa mission à l’égard de Dieu car l’enfant est un dépôt précieux (amana) le parent musulman est le premier transmetteur du message coranique, porté par le Prophète (BSL) : il doit le transmettre par son comportement avant tout et la parole accompagne ce comportement (et non l’inverse). Tout enseignement tiré du Coran ou de la Sunna doit être transmis avec amour, patience et clarté. Il faut donner envie à nos enfants de rester attachés à cette croyance et leur donner les moyens de résister.
L’enfant doit s’inscrire dans un processus de réussite de la vie ici-bas dans la satisfaction de Dieu afin d’assurer sa réussite dans l’au-delà. Les deux vies sont intimement liées.
C) Le premier lieu d’apprentissage, c’est la maison.
Les sociologues s’accordent à dire que le fait d’avoir pu accéder à un enseignement universitaire élevé n’assure pas forcément l’ascension sociale. Ainsi, on constate que 56% des fils, ayant eu un diplôme supérieur à celui de leur père, occupent une position sociale analogue (Raymond Boudon).
L’accès à l’université ne donne pas forcément accès à des emplois de cadre par exemple.
Aussi, on constate que le style éducatif des classes élevées (ce que l’on appelle high society/ bourgeoisie situé à l’ouest) développe les conditions favorables aux activités de connaissance (développement de la curiosité, de l’esprit critique, etc).
Pourquoi ce constat social ? Quel est le rapport avec l’enseignement islamique ?
Si nous voulons que nos enfants réussissent dans la vie en occupant une position sociale honorable, il est nécessaire de centrer nos efforts dans cette tâche. Pourquoi ? Il n’est pas interdit de réussir socialement, bien au contraire cela est encouragé.
Le fidèle musulman renvoie ainsi une image d’un être équilibré et en harmonie avec Son Créateur et il donne aussi envie aux autres de lui ressembler surtout s’il a su donner du sens à sa vie par une activité spirituelle soutenue.
A la maison, les parents agissent sur deux niveaux sur le fond et la forme :
1. le fond : transmettre un savoir, un savoir-être, un savoir-faire
La maison ne doit pas s’organiser en école. Les faire participer aux tâches ménagères, sortir faire du vélo, découvrir les légumes en faisant le marché, aller au musée ou au cinéma, faire de la peinture, du bricolage, de la couture, regarder des dessins animés avec eux, lire des histoires, etc.
petit détail technique : c’est essentiellement la mère qui supervise les activités de découverte (les jours de pas d’école et de vacances) ce qui l’oblige à être centrée sur les enfants et à mettre de côté les tâches ménagères. Et le père y contribue les week-end par exemple.
A travers ces activités, l’enfant se sécurise à nos côtés, gagne en confiance tout en gagnant en savoir et en habilité.
2. la forme : transmettre des savoirs avec méthode
Tout comme la création de Dieu est caractérisée par son ordre, éduquer un enfant nécessite de la méthode. Par cette méthode, on prépare l’enfant à acquérir la connaissance. Quelle est cette méthode ?
a) Exercer une autorité constructive, c’est mettre des limites indispensables pour que l’enfant puisse se construire, grandir.
Pour cela, on a besoin de la discipline, en lui inculquant un certain nombre de règles de conduite imposées aux membres d’une société pour en assurer son bon fonctionnement (ne pas voler, ne pas taper, ne pas insulter, la politesse, respect d’autrui, etc)
Par l’éducation, on aide cet enfant naturellement égoïste et individualiste à devenir un être social, c'est-à-dire à être capable de vivre en société, en harmonie avec Dieu et les autres.
b) Il faut le motiver en le valorisant et en le félicitant (au lieu de critiquer et faire des remarques sans cesse)
En le félicitant sur un travail bien fait, nous l’encourageons à recommencer.
Une mère dont les enfants se chamaillent systématiquement en voiture ne manque de remarquer les cinq rares minutes de tranquillité qu’ils lui ont été offertes ce jour-là : « j’ai vraiment apprécié d’aller au supermarché avec vous, vous avez été si sages. » Depuis ce jour, les enfants se chamaillent moins souvent.
Par notre appréciation, nous l’encourageons à répéter ce bon comportement parce qu’il souhaite profondément nous faire plaisir.
Tout en sachant que l’enfant a besoin d’enfance et qu’il fait des bêtises de manière naturelle sans vouloir vous offenser. Par ses bêtises, il apprend si et seulement si les parents ont le courage de laisser un enfant affronter les conséquences de ses propres décisions. Mais, au bout du compte, il apprendra beaucoup plus de l’expérience découlant de ses choix que de toutes nos leçons de morale, nos interventions et nos aides.
Notre parole sert à féliciter et notre comportement sert à être imité.
D) Eduquer nos enfants : un tremplin spirituel
Etre parent n'est pas un obstacle à la pratique spirituelle.
Si nous avons l'intention de nous investir dans une voie spirituelle, la relation profonde qui nous relie à l'enfant est l'occasion d'un travail sur l'attachement et sur d'autres tendances.
En adoptant une attitude d'ouverture et d'écoute, nous devenons vulnérable face à lui et c'est une chance de devenir plus lucide sur nous-mêmes. Souvent, nos enfants sont comme des miroirs qui nous renvoient nos défauts.
Non seulement l'enfant n'est pas un obstacle à la pratique spirituelle mais il est celui qui nous invite à développer des qualités de patience, de générosité et de diligence. Cette relation intime avec l'enfant peut nous amener à clarifier l'égoïsme qui motive nos attentes et nos projections envers lui.
Eduquer un enfant est l'occasion de nous éduquer nous-mêmes.
La bienveillance est au cœur de la démarche éducative. | |
| | | hafsa hafosa عضو متّألق
الإسم الحقيقي : hafsa ait kadir البلد : Rayaume du Maroc
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| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 19:58 | |
| L’émigration clandestine
Définition
L'immigration clandestine se fait illégalement : les clandestins prennent fréquemment des risques importants pouvant mettre leur propre vie en péril afin de rejoindre des pays présentant des conditions de vie qu'ils espèrent meilleures. Ils n'hésitent donc pas à tout abandonner pour tenter l'aventure souvent « aidés » dans cette entreprise par des passeurs peu honnête leur faisant payer un prix exorbitant pour leur fournir les moyens de franchir les obstacles naturels (mers, montagne, fleuve, etc.) ou humains (poste frontière) dans des conditions de sécurité extrêmement précaires.
Causes de l’émigration clandestine
Ces facteurs sont tellement diversifiés qu'il convient de les énumérer de la manière suivante :
- Politiques : réfugiés politiques fuyant la persécution.
- Sécuritaires : notamment en cas de guerre dans le pays d'origine.
- Economiques : habitants de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays riches ; mondialisation...
- Personnelles : volonté de s'installer dans un pays par goût
- Familiales : rejoindre le conjoint, l'enfant déjà installé...
- Psychologiques : l'image de la réussite sociale qu'affiche l'immigré de retour au pays pendant les vacances.
- Médiatiques : l'image des pays développés diffusée par les chaînes de Tv démontrant l'opulence dont vit quelques pays du Nord.
- Naturelles : changement climatique de certains endroits poussant les habitants à changer de lieu d'habitation.
Conséquences de l’émigration clandestine
Les conséquences de l'immigration clandestine sont diverses selon qu'il s'agisse des pays d'origine ou des pays d'accueil des immigrants. Dans une certaine mesure l'immigration ne peut être bénéfique que si elle contribue au comblement de déficit observé dans un domaine ou dans un autre. Elle n'est pas désirée quand elle se constitue en une charge sociale et contribue à la montée de l'insécurité.
La présence des immigrants africains en occident est à la fois un gain, une menace et une charge. Elle se constituerait en une main d'oeuvre à la production, si elle est bien intégrée.
La plupart des immigrants clandestins intellectuels en occident se retrouvent dans des situations irrégulières les empêchant ainsi de réaliser leur rêve. Cette position sociale pousse bon nombre d'entre eux à s'adonner aux travaux de basses classes par rapport à leur potentiel savoir. Néanmoins ces travaux leur permettent de nouer les deux bouts du mois et d'épargner quelque chose pour la grande famille restée en Afrique, chose difficilement réalisable en étant sur le continent.
Vu sa situation géographique et aussi économique et sociale,le Maroc est devenu l’un des premiers pays exportateurs de l’émigration clandestine vers le nord. Il est également un pays de transit tout désigné pour les clandestins venant d’autres pays du sud.
Différents moyens de transport sont utilisés pour effectuer la traversée. Il y a bien entendu les pateras, ces fameuses barques de la mort, utilisées à partir du détroit et qui n’ont pas cessé de défrayer la chronique avec les dizaines de cadavres qui échouent sur les côtes espagnoles. En raison du danger que représentent ces embarcations, on les préfère,à présent,à des navires qui offrent non seulement une sécurité totale,mais aussi plus de confort et parfois même de la nourriture quand on arrive à se glisser à l’intérieur d’un chargement de produits agricoles.
Pour accéder au navire, les uns s’y rendent directement, escaladant les murs ou parfois à la nage en nocturne, d’autres y arrivent dissimulés dans des remorques ou sous des véhicules et autres engins. A chacun ses astuces et son art.
Sur le navire, certains se contentent de faire le mort quelque part dans les nombreuses cachettes qu’offrent des bâtiments immenses. D’autres font la traversée qui dure des jours parmi les marchandises dont ils se servent, qu’ils souillent et qu’ils endommagent parfois entièrement lorsqu’il s’agit de produits frais transportés dans des camions frigorifiques auxquels on obstrue les sorties d’air pour se protéger contre le froid. Les dommages ainsi portés aux cargaisons font de plus en plus râler les donneurs d’ordre et clients étrangers qui commencent à se détourner du Maroc et à le considérer comme un pays à risque; ce qui menace de sinistrer des pans entiers de l’économie nationale notamment le secteur du textile et de l’habillement. Les transporteurs ne sont pas en reste avec les pénalités qu’ils doivent payer et les dégâts causés à leurs véhicules.
La "physionomie" de la migration clandestine au Maroc ne répond plus au schéma classique, observé au début des années 90, qui se caractérisait par la prédominance de tentatives isolées entreprises généralement par des nationaux. Aujourd’hui, le trafic des clandestins est dominé par des réseaux bien organisés, hiérarchisés et structurés autour de filières qui s'imbriquent pour entretenir une criminalité transfrontière difficilement maîtrisable.
Les ressortissants subsahariens représentent aujourd’hui la composante essentielle du phénomène de l’émigration clandestine dominé par des réseaux aux ramifications internationales. L’émigration clandestine des nationaux a connu une certaine stagnation ces dernières années et un recul sensible depuis 2002, en raison notamment des mesures sécuritaires dissuasives prises par les autorités marocaines et des nombreuses actions de sensibilisation menées autour des dangers de la migration clandestine.
Les réseaux de trafic sont structurés en rabatteurs, hébergeurs et transporteurs qui disposent souvent d’ateliers clandestins de fabrication de pateras (barques légères). En règle générale, les clandestins tentent la traversée par « pateras » ou camions de transport international routier, aussi bien par le détroit, que vers les îles canaries. D’autres clandestins marocains tentent d’accéder en Italie, via l’île de Lampedusa.
Le flux des clandestins étrangers constitue un problème épineux et aux dimensions multiples, le Maroc n’étant plus seulement une plateforme de transit, mais aussi un pays de destination.
L’analyse circonstanciée de ce phénomène couplée à un long travail d’intervention et d’investigation sur le terrain a permis aux autorités marocaines de mettre en place une stratégie de lutte globale et intégrée.
Une stratégie multiforme:
La stratégie adoptée par les pouvoirs publics marocains dans le domaine de la lutte contre la migration clandestine s'inscrit dans une logique globale qui concilie les aspects juridique, institutionnel, sécuritaire, socio-économique et de communication
Sur le plan législatif, la loi 02 - 03 sur l'entrée et le séjour des étrangers au Maroc, l'émigration et l'immigration irrégulières est entrée en vigueur en novembre 2003. L'objectif consistait à unifier les textes antérieurs, à harmoniser les nouvelles dispositions avec le code pénal, à rationaliser les critères de séjour des étrangers au Maroc et surtout à codifier les infractions liées à l'émigration clandestine. Le trafic des migrants a été criminalisé et ses commanditaires sont désormais passibles de peines de prison allant de 10 ans à la perpétuité. Cette loi sauvegarde également les droits des étrangers, puisque les voies de recours sont explicitement reconnues
Au plan institutionnel, deux mesures fortes viennent renforcer cet arsenal. Il s’agit en premier lieu de la création, au niveau du Ministère de l'Intérieur, de la Direction de la Migration et de la Surveillance des Frontières et de l'Observatoire de la Migration
La mise en place de cette Direction, structure spécialement dédiée à cette mission, avec des prérogatives et un champ d’action clairement définis, permettra de rationaliser les méthodes de travail, d’affiner les outils d’analyse et d’optimiser le déploiement des unités opérationnelles de surveillance. Elle permettra également de contrôler les points d’infiltration empruntés par les clandestins migrants le long des frontières
La mise en place de cette structure permet par ailleurs de disposer d’un corps d’intervention efficace, dont la capacité de réaction, la célérité et la cohérence, permettra de s’adapter en permanence à l’évolution des stratégies, de plus en plus sophistiquées, développées par les réseaux de trafic des migrants
Les missions dévolues à cette Direction se déclinent à deux niveaux : l’analyse des réseaux de trafic des migrants aux échelons national et international et l’appui opérationnel pour la surveillance des frontières
La deuxième mesure salutaire à ce niveau a été la création de l’Observatoire des migrations. Le rôle de cet Observatoire consiste à fédérer toutes les parties concernées dans la réflexion multidisciplinaire sur la question migratoire et notamment la société civile et les chercheurs. Il fait également office de banque de données statistiques à l'échelon national
La dimension sécuritaire:
Une vigilance particulière caractérise l’action constante des autorités locales et des services de sécurité ainsi que des Forces Armées Royales. A ce titre, les patrouilles aériennes, les opérations de ratissage terrestres ainsi que les actions de renseignement permettent d’avorter en amont les tentatives des départs clandestins.
Cette approche multidimensionnelle a permis de réviser les statistiques à la baisse. Ainsi, du 1er janvier au 31 Octobre 2003, une baisse de 26,95 % et de 17,53 %, respectivement du nombre de candidats à l’émigration clandestine étrangers et nationaux, a été enregistrée. Parallèlement, il y a une augmentation de 33,75 % de réseaux démantelés au cours de la même période.
La coopération internationale
La coopération internationale est, bien sûr, l’un des piliers de cette lutte contre l’immigration clandestine. Le Maroc base sa démarche sur le principe de la responsabilité partagée avec ses partenaires
La coopération initiée avec l'Espagne, l'Union Européenne et le Nigeria représente un modèle de partenariat Nord-Sud et Sud-Sud.
Avec l’Espagne, par exemple, le Groupe Migratoire Permanent Mixte, mis en place en novembre 2003, a déjà tenu quatre réunions, dont la dernière le 15 Septembre 2004 à Cordoue et a permis d’enregistrer des progrès notables. Ainsi, les patrouilles maritimes mixtes entre la Gendarmerie Royale et la Guardia Civil entre Laâyoune et Las Palmas ont démarré en février 2004. Des patrouilles mixtes aériennes et terrestres ont également été effectuées et ont permis aux espagnols de mieux percevoir les efforts fournis par les autorités marocaines. Cette expérience a été étendue à la zone du Détroit et la première patrouille mixte a été effectuée début novembre 2004. Le Maroc a également affecté quatre officiers de liaison à Madrid, aux Iles Canaries, à Algésiras et auprès du système S.I.V.E (Système de surveillance électronique mis en place par les espagnols pour la surveillance du Détroit).
Par ailleurs, cinq opérations ont été entreprises avec les autorités nigérianes et permis le rapatriement par voie aérienne d’environ 1.700 ressortissants nigérians en situation illégale au Maroc. Ces rapatriements, basés sur le retour volontaire, se sont déroulés dans le respect des droits de l’homme et de la dignité des personnes.
Avec l’Union Européenne, le Maroc négocie actuellement un accord de réadmission et les deux parties sont sur le point de signer la convention de financement d’un programme de gestion des contrôles frontaliers, inscrit dans le cadre MEDA et doté d’un budget de 40 millions d’Euros.
La dimension socio-économique
La dimension socio-économique n’est pas négligée et le Maroc appelle ses partenaires à ne pas se focaliser sur l'aspect sécuritaire et à privilégier le traitement économique de la problématique migratoire à travers le co-développement, générateur de croissance et d'emplois pour fixer les candidats potentiels.
L'Accord d'association maroco-européen a mis en place un Groupe de Travail sur les Affaires Sociales et la Migration, dont l'un des objectifs est de concrétiser la mise en place de micro-projets dans les zones à fort potentiel migratoire.
Sensibilisation et dimension médiatique sont également prises en compte et la stratégie initiée a pour objectif de sensibiliser les candidats potentiels, à travers les supports médiatiques divers (reportages, spots télévisés, journaux, tables rondes, films, documentaires, etc.), sur les dangers de la migration clandestine et les risques inhérents à leur exploitation par les réseaux de trafic et les informer sur les opportunités d'émigration légale comme alternative.
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| | | Mehdi RABBAI المراقب العام
الإسم الحقيقي : Mehdi RABBAI البلد : Maroc
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| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الثلاثاء 23 أبريل 2013, 20:36 | |
| 1 Sujet la violance contre la femme Que de femmes mariées sont battues, maltraitées, spoliées dans leurs droits les plus élémentaires! Que de filles vierges sont violées et agressées sauvagement! Le responsable: l’homme. Pourtant, la femme est le symbole d’affection, de douceur et de féminité. Alors, elle mérite notre respect et notre estime. Les formes de la violence conjugale Les actes de violence contre les femmes dans le couple peuvent être verbales, physiques, psychologiques, sexuelles et économiques. Les violences verbales s’entendent dans la voix, le ton. Elles se caractérisent par des cris, des hurlements. Elles créent un sentiment d’insécurité, de peur. Les violences psychologiques sont une dévalorisation de la personne par des propos méprisants, par l’humiliation ou par le chantage. Les violences physiques font référence aux coups et blessures. Les violences économiques se traduisent par une privation d’accès aux ressources financières propres ou aux ressources du ménage. Les violences sexuelles par des pratiques forcées ou par le viol. Causes de la violence contre les femmes -Sur le plan individuel, la violence conjugale naît du désir de contrôler une personne que l'on refuse de voir comme son égale. -Certains événements peuvent déclencher une agression : la conjointe réplique, refuse d'avoir des relations sexuelles, ne s'occupe pas bien du foyer, va quelque part sans autorisation, questionne la fidélité du conjoint, etc. -L'alcool, la drogue et le stress peuvent favoriser l'expression de la violence. La violence conjugale a des racines sociales et historiques profondes. -Elle est la manifestation de rapports de force historiquement inégaux entre les hommes et les femmes. -Elle est une construction sociale : la société et ses institutions véhiculent des valeurs qui favorisent son émergence. Si la violence conjugale est construite socialement, elle est néanmoins choisie individuellement. Elle se perpétue par l'entremise de la socialisation sexiste. Les garçons apprennent à être forts et autonomes, à recevoir les privilèges, à ne pas tolérer les frustrations, à préserver leur ego, etc. Les filles apprennent à prendre soin des autres, à se dévouer, à se sentir responsables du bonheur d'autrui, à être compréhensives, à donner sans rien demander en retour, etc. Conséquences des violences conjugales La violence au sein du couple a une incidence majeure sur la santé des femmes, que ce soit du fait des blessures provoquées ou des affections chroniques qu'elle peut engendrer. Les coups reçus, l'état de tension, de peur et d'angoisse dans lequel elles sont maintenues par leur agresseur, ont de graves conséquences et sont à l'origine de troubles très variés. -Les lésions traumatiques sont une conséquence de la violence physique. Elles sont souvent multiples, d'âge différent et de nature très variée. Erosions, ecchymoses, hématomes, contusions, plaies, brûlures, morsures, traces de strangulation, mais aussi fractures, sont les principales lésions retrouvées. -Les violences physiques ne sont jamais isolées. Elles sont accompagnées d'injures, de menaces et précèdent le plus souvent des rapports sexuels forcés. Comme pour leur mère, la violence conjugale a de nombreux impacts sur la santé des enfants. Ils peuvent souffrir : - de lésions traumatiques : blessures accidentelles lorsque l'enfant reçoit un coup qui ne lui était pas destiné, ou violences intentionnelles, que l’enfant soit utilisé comme moyen de pression ou lui-même victime de violences de la part de l'un de ses parents. Les blessures peuvent alors être de tous types et de localisations différentes ; - de troubles psychologiques : troubles du sommeil, cauchemars ; troubles de l'alimentation ; anxiété, angoisse ; état dépressif ; syndrome post-traumatique ; - de troubles du comportement et de la conduite. Le climat de violence qui règne à la maison, la terreur engendrée par cette violence déséquilibre l’enfant et peuvent provoquer en lui : désintérêt ou surinvestissement scolaire, agressivité et violence ; fugues et délinquance ; conduites addictives et toxicomanies ; idées et tentatives de suicide. - des troubles psychosomatiques. Le manque de soins ou le traumatisme psychologique engendré par les violences entraînent des troubles sphinctériens à type d'énurésie, des retards staturo-pondérals, des troubles de l'audition et du langage, des infections respiratoires à répétition. Certes, la femme est un être faible physiquement, mais elle participe au développement et au progrès du pays. Les femmes violentées doivent briser le mur du silence et aller porter plainte. Il faudra condamner la violence contre les femmes et la considérer comme une violation des droits humains et une atteinte à leur dignité. Il faudra aussi que les maltraiteurs soient punis et que les victimes soient indemnisées. Halte à la violence contre les femmes La violence contre les femmes, souvent sous-estimée, est rarement punie. Les femmes et les fillettes subissent des violences de façon disproportionnée, en temps de paix comme en temps de guerre. Ces actes peuvent être le fait de l'Etat, du groupe social ou de la famille. Le droit de vivre à l’abri de la violence est un droit humain fondamental. Partout, dans les foyers comme dans les zones de conflit, la violence doit cesser. La violence contre les femmes et les fillettes est un scandale au regard des droits humains. Pourtant, dans de nombreuses sociétés, les autorités y semblent indifférentes et leur attitude se caractérise par le silence et l'inaction. De la chambre à coucher au champ de bataille, de la cour de récréation à l'atelier ou au bureau, les femmes et les fillettes courent le risque de subir des violences sexuelles. Les autorités sont encore loin de prendre les mesures appropriées contre les viols et les autres formes de violence sexuelle. Une femme brutalisée, agressée ou violée doit pouvoir bénéficier de toute une gamme de services dispensés dans un esprit respectueux et solidaire, compte tenu des particularités de son cas et de ses conditions de vie. La violence conjugale, qu’elle s’exerce de façon verbale ou physique, est une réalité quotidienne pour des milliers de Marocaines. Pourtant, cette violence, qui s’exerce à l’intérieur de la sphère familiale, reste largement tabou et les femmes qui décident de se rendre au Centre d’écoute ont du mal à exprimer leurs douleurs. Parfois, leur corps parle pour elles. Celles qui souhaitent s’adresser à la justice sont rapidement découragées par les procédures longues et compliquées. La loi marocaine exige que douze témoins appuient la déclaration de la femme battue. Or, les violences se déroulent à la maison, en privé... « Même avec le nouveau Code de la famille, la loi reste compliquée. Il y a différents points qui ne sont pas pris en compte légalement, comme le cas de la violence ou la protection des femmes célibataires. Celles-ci sont souvent maltraitées par leurs employeurs, leur propriétaire ou leur partenaire. Elles sont victimes de la pauvreté, de la prostitution. Et la Moudawana ne leur offre pas de recours. Une enquête réalisée en juin 2000 par l’Association démocratique des femmes du Maroc (ADFM), montre que la violence à l’égard des femmes est une pratique courante dans le pays. 55,3% des personnes interrogées ont reconnu connaître dans leur entourage une femme battue par son époux. 2 Sujet la lutte contre le piratage Définition Le piratage couvre la possession, la distribution, la copie et/ou l'utilisation non autorisée d'éléments soumis à des droits d'auteur ou un brevet. On appelle « piratage ou contrefaçon » la reproduction, l’imitation, l’utilisation et la distribution à grande échelle d’une marque ou d’un produit (cd, films, musique…), sans l’autorisation de son titulaire et sans payer de droits, dans un but de commercialisation. Le piratage entraîne des sanctions pénales et des poursuites judiciaires. Face aux proportions incontrôlées que commence à prendre le phénomène du piratage, on estime que la contrefaçon est devenue un problème réel menaçant pour le champ de la créativité, du savoir et de l’invention, voire pour l’équilibre social. Sur ce dernier chapitre, il y a lieu de rappeler que le phénomène du piratage et de la contrefaçon engendre, rien que pour les pays de l’Union Européenne, une perte sèche de 200.000 emplois dont 38.000 par an en France, selon les données d’un rapport établi par un député français et présenté devant l’assemblée nationale, il y a quelques mois seulement. De par son ampleur, le phénomène de la contrefaçon représente quelque 8% du PIB de certaines économies de la zone Europe et que certains secteurs, notamment la musique et enregistrements, les logiciels et les films sont envahis respectivement dans des proportions de 64%, 90% et 75%. Certes, le phénomène de la contrefaçon et du piratage ne connaît pas de frontières aujourd’hui. Processus de la mondialisation aidant, les champs de la contrefaçon sont, de nos jours, vastes et touchent presque tous les secteurs économiques, leurs conséquences sont souvent désastreuses en termes de l’emploi et de la sécurité sanitaire notamment. Encore plus inquiétant, ce sont les évolutions que connaît la contrefaçon qui, en quelques décennies, est passée du stade artisanal et régional au stade industriel et planétaire, du secteur de luxe aux secteurs de produits de grande consommation et dont le contrôle est passé des mains de groupes isolés à celles de réseaux bien organisés. On comprend dès lors l’importance du combat contre la contrefaçon à travers aussi bien la coalition des patrons des multinationales qu’à travers l’attitude des gouvernements et des ONG travaillant dans ce domaine, conscients que les produits contrefaits touchent à la sécurité du consommateur et peuvent être dangereux pour sa santé. Aussi, d’un point de vue économique, la contrefaçon remet-elle en cause l’image de marque des entreprises productrices et provoque une baisse de leur chiffre d’affaires, comme elle porte préjudice à l’image du pays à l’échelle internationale et remet en cause sa crédibilité. S’inscrivant dans le concert international, notre pays, qui mesure à juste litre les dégâts pouvant être engendrés par le phénomène de la contrefaçon et du piratage, a mis en place un plan d’action approprié visant à sensibiliser aux dangers du piratage, dynamiser les mécanismes de contrôle et il s’engage activement dans la recherche de solutions alternatives pour parer aux dangers pouvant découler de ce phénomène. Les responsables marocains ne laissent passer aucune occasion pour réitérer la décision du Royaume de faire de la lutte contre la contrefaçon et le piratage l’une de ses priorités en 2005, en raison des dégâts économiques et des préjudices moraux causés par ce phénomène au Maroc. Plusieurs campagnes de sensibilisation et de communication sont systématiquement menées dans le but de permettre une meilleure compréhension de ce phénomène, son étendue et ses répercussions négatives sur notre économie et sur notre société. Une orientation en droit fil de l’éthique internationale en matière de commerce et d’échange de produits et également du souci de protection et de sauvegarde de la propriété intellectuelle. Une stratégie nationale pour la lutte contre le piratage sera prochainement mise en place en concertation avec l’ensemble des parties concernées, a annoncé lundi à Casablanca M. Abdallah Oudghiri, directeur général du Bureau marocain des Droits d’auteur (BMDA). L’élaboration de cette stratégie, censée servir d’outil approprié pour "une lutte tous azimuts et à tous les niveaux contre ce phénomène", se déroule dans un cadre de coordination entre les instances gouvernementales, selon une approche visant la protection à la fois des droits de l’auteur et du producteur, a déclaré M. Oudghiri, à l’occasion de la journée professionnelle du Salon international de l’Edition et du Livre. Dans ce contexte, le BMDA réalise une étude pour évaluer l’apport des secteurs liés aux droits d’auteur au développement social, en collaboration avec l’Organisation mondiale de la Propriété intellectuelle (OMPI), a-t-il expliqué, insistant sur l’importance de l’éducation aux droits de la propriété intellectuelle à travers son intégration dans le système pédagogique aux fins d’initier les générations montantes au respect des droits d’auteur. Dans le souci de mener à bien cette entreprise, a relevé M. Oudghiri, des mesures dissuasives seront prises contre les personnes impliquées dans des délits de piratage. Il a cité à ce propos la dynamisation des dispositions juridiques, le renforcement des moyens de contrôle et de surveillance au niveau des frontières et la consolidation du rôle du BMDA. Le directeur général du Bureau a, à cet égard, estimé nécessaire la recherche d’alternatives pour les personnes assurant leur subsistance d’activités liées au piratage. Il a, d’autre part, souligné que les opérations de descente qui ont ciblé les locaux de vente des produits piratés dans plusieurs villes du Royaume, dont Rabat, vont se poursuivre, mettant en exergue l’importance de l’action des médias dans la sensibilisation du citoyen aux méfaits de la piraterie. La contrefaçon est une violation d'un droit de propriété intellectuelle : Dans le cas des biens manufacturés, la contrefaçon est une tromperie : le but du contrefacteur est de créer une confusion entre le produit original et le produit contrefaisant ; il cherche ainsi à s'approprier la notoriété d'autrui et à profiter indûment des investissements réalisés par les véritables titulaires des droits de propriété intellectuelle. La contrefaçon est une activité criminelle : Non seulement elle finance le grand banditisme et les réseaux mafieux (trafiquants d'armes, de drogue...), mais des liens entre certains contrefacteurs et des groupes terroristes ont pu être mis en évidence. La contrefaçon est un fléau mondial : Beaucoup de produits contrefaisants sont fabriqués en Asie du Sud-Est (Chine, Thaïlande, Singapour, Corée du Sud...), autour du bassin méditerranéen (Maroc, Tunisie, Turquie...), en Russie, et aussi au sein même de l'Union européenne (Espagne, Pologne, Italie...). Les produits contrefaisants sont distribués via des réseaux de distribution implantés dans tous les pays, mais également par le biais d'internet : on trouve ces produits sur des sites de ventes aux enchères et dans des forums de discussion, certains sites allant jusqu'à proposer ouvertement des contrefaçons... La contrefaçon touche tous les domaines de la consommation : Si l'on se réfère aux saisies effectuées par les douanes, une partie significative des cas de contrefaçon constatés portent sur l'habillement, les accessoires de mode et surtout les vêtements et chaussures de sport. Mais les copies illicites de logiciels de jeux, d'oeuvres musicales et de films prolifèrent également, tout comme les équipements contrefaisants de téléphonie mobile (coques, batteries, etc.). On trouve aussi des fausses pièces de rechange automobiles (filtres, optiques, pièces de moteur...). Enfin, l'espace domestique n'est pas épargné avec des contrefaçons, parfois très dangereuses, d'équipements électroménagers (robots ménagers, radios...), de boissons et produits alimentaires, de tissus, de jouets, de cosmétiques, de stylos, de rasoirs, etc. | |
| | | يحيى سالم مشرف على ركن إباعات الأعضاء
الإسم الحقيقي : yahya البلد : اليمن
عدد المساهمات : 7 التنقيط : 42245 العمر : 32 تاريخ التسجيل : 22/04/2013 الجنس :
| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الأربعاء 24 أبريل 2013, 13:28 | |
| Ma gratitude et reconnaissance pour vos efforts
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| | | abdelhalim berri المدير العام
الإسم الحقيقي : Abdelhalim BERRI البلد : Royaume du Maroc
عدد المساهمات : 17537 التنقيط : 96732 العمر : 64 تاريخ التسجيل : 11/08/2010 الجنس :
| موضوع: رد: أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! الأربعاء 24 أبريل 2013, 13:32 | |
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| | | | أرجو المساعدة بأسرع وقت..؟؟!!! | |
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