Comme un papillon.
Je me sentais comme un papillon attiré par la lumière d’une bougie,
Sacrifiant sa vie pour ces songes et ces envies.
Je ne m’étais pas aperçu du temps qui passait sans répit,
Me laissant derrière lui, avec des rêves inaccomplis.
Je me tus devant ses soucis,
Qui n’avaient pas d’importance aux yeux d’autrui.
Je ne faisais que rêver,
En écoutant cette douce mélodie.
Je ne faisais que songer à cet avenir sans vie.
Mais je ris, avec ce visage cimenté par cette expression enjoué,
Qui résonne faux dans cet abysse maudit.
Je me sentais comme un papillon trahit par ces ailes,
Dont le seul péché était de voler dans son idéal incompris.
Je ne m’étais pas aperçu du chemin que j’avais franchi,
Me laissant charriée par le vent et bouleversée par ces intempéries.
Je me tus devant ces moqueries,
Qui n’avais d’importance qu’aux yeux d’une fleur parti.
Je me sentais comme un papillon attiré par la lumière d’une bougie,
Sacrifiant sa vie pour ces songes et ces envies.
Je ne m’étais pas aperçu du temps qui passait sans répit,
Me laissant derrière lui, avec des rêves inaccomplis.
Je me tus devant ses soucis,
Qui n’avaient pas d’importance aux yeux d’autrui.
Je ne faisais que rêver,
En écoutant cette douce mélodie.
Je ne faisais que songer à cet avenir sans vie.
Mais je ris, avec ce visage cimenté par cette expression enjoué,
Qui résonne faux dans cet abysse maudit.
Je me sentais comme un papillon trahit par ces ailes,
Dont le seul péché était de voler dans son idéal incompris.
Je ne m’étais pas aperçu du chemin que j’avais franchi,
Me laissant charriée par le vent et bouleversée par ces intempéries.
Je me tus devant ces moqueries,
Qui n’avais d’importance qu’aux yeux d’une fleur parti.